Un bienfait n'est jamais perdu - 1ere partie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
hbi,
couplus,
intermast,
pénétratio,
hsodo,
... son cabinet le lendemain après-midi avant la consultation — vers une heure a-t-il précisé. Il pensait pouvoir faire quelque chose pour mes érections faiblardes. Le vieux schnock que je suis avait trouvé le Nirvana ! Philippe Mayer, comme il le disait à la radio, aurait sorti son si juste : «Nous vivons une époque moderne«. Paul. Donc, comme promis, je suis allé au cabinet. Il m’a fait passer un examen très complet et méticuleux avec test cardiaque et tout le bataclan. Au moment où je pensais qu’il en avait fini et avant de me rhabiller (faut dire que j’étais quasiment nu), il m’a dit de prendre un quart de comprimé de Viagra et d’attendre un éventuel résultat allongé sur la table d’examen, slip baissé pendant qu’il me faisait une ordonnance pour des analyses. Un grand moment après, miracle ! J’ai ressenti un début d’érection. Il est venu constater et pour mieux se rendre compte (tu parles !), il a touché mon sexe. Le geste n’était pas médical du tout et j’ai pensé qu’il me rendait ma caresse du jour de l’accident ! Je pouvais difficilement m’en insurger et d’ailleurs, n’en avais pas du tout envie, trop heureux que j’étais de ressentir une vraie quoique modeste érection. Paul dit qu’en augmentant légèrement la dose, je n’aurai rien à envier à qui que ce soit et pourrai à nouveau faire l’amour. C’était prodigieux. Spontanément je me suis redressé et le prenant par les épaules, je l’ai serré contre moi en le remerciant. Là, ce n’était plus le toubib qui était contre moi, il ...
... s’est transformé en amant ! Le jour de l’accident, j’avais fait le saut et accepté que le petit cochon d’homo dormant au fond de moi remonte à la surface. J’ai juste eu à fermer les yeux, c’est lui qui a craqué… Et ma salope de conscience a dû être si choquée qu’elle a gardé le silence ! En rien de temps, je me suis retrouvé couché sur le dos sur sa table d’examen, c’est lui qui me prenait, me pelotait et m’embrassait partout. Il était en pleine excitation et moi je l’étais tout autant à voir l’effet que je lui faisais. Je savais bien ce qui allait se passer, mais j’étais d’accord, lui laissant tout me faire. C’était si imprévu, si nouveau, si agréable ! Quand il m’a lubrifié et que j’ai senti ses doigts me préparer, je n’ai rien fait à l’encontre, rien dit. Il m’avait mis à quatre pattes et d’une main tout en continuant la méthodique préparation de mes fesses, il me caressait les seins lesquels étaient devenus, à cause de la biroute en berne, la partie la plus érogène de mon corps… Le pied ! Au bout d’un long moment il m’a retourné sur le dos. On s’est regardés intensément, c’est tout. Il m’a pénétré, progressivement, lentement, me faisant vivre les sensations contradictoires qu’ont dû éprouver tous ceux à qui pour la première fois, cette situation est arrivée. Pourquoi ai-je accepté et ensuite sciemment voulu vivre ça ? Pourquoi ai-je aimé ressentir une volupté à la fois féminine et masculine, pourquoi ai-je eu peur et confiance et réalisé ce qu’était le mélange plaisir (et un ...