Une auberge au bord de l'eau
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
fsoumise,
vengeance,
cérébral,
revede,
Oral
pénétratio,
journal,
... soutien-gorge et tète, tète. Glisse une main sous ma jupe, faufile un doigt dans ma petite culotte. Je serais bien allée plus loin, mais pas debout, pas pour la première fois, quand même ! Et je ne me vois pas le laisser me besogner à quatre pattes, ou couchée sur le dos, sur ces archives couvertes de poussière. Il m’a demandé si j’avais un stérilet, ou si je prenais la pilule. Ma petite culotte était trempée, après. oooOOOooo Vendredi Tu as lu, Julien. L’air navré, tu m’as invitée à exiger une capote si je retourne dans les archives. J’avais menti, pour voir. J’irai dans les archives avec Anthony et il m’embrassera, me tripotera. Je le sucerai peut-être. Sans capote ! Enfin, pas avant de savoir s’il n’a pas le sida ou une autre saloperie, rassure-toi mon chéri. oooOOOooo Mardi Anthony me propose une virée à la campagne. Il connaît une auberge au bord de l’eau, avec des chambres. Alors, un jour de RTT, moi et lui… oooOOOooo oooOOOooo Jeudi On quitte la nationale, au bout de quelques kilomètres on tombe sur une église au clocher pointu comme tous les clochers, on tourne à droite et la route devient étroite. Derrière un rideau d’arbres, c’est l’auberge. Il est 10 heures du matin. Anthony pourrait, tout de suite, demander une chambre, mais non : j’ai droit à une promenade sentimentale au bord de la rivière. Il veut savourer le moment d’avant, mon Anthony. Et nous déjeunerons d’abord, n’est-ce pas ? Mais bien sûr. Qu’il ne mange pas trop, qu’il ne boive pas trop, il faut qu’il ...
... reste alerte pour me sauter. Pas d’acompte, en attendant ? Si ! La promenade main dans la main s’interrompt sous un chêne. Graverons-nous sur son écorce nos initiales entrelacées ? Non, nous nous embrassons longuement sous son feuillage. Le dos contre son tronc, mon pubis éprouve la dureté du bas-ventre d’Anthony… Trêve de littérature, Anthony bande comme un taureau. Il veut que je touche. Je veux bien. — Vois comme j’ai envie de toi ! Je constate mais ne vois pas, pas encore. Il tripote mes seins, mes fesses… et devant aussi. Je me dégage : — Pas ici, pas maintenant, voyons, Anthony ! Ne gâchons pas notre première fois. Il s’attriste. Il n’avait qu’à demander une chambre dès que nous sommes arrivés. Peut-être a-t-il peur de ne plus bander, après le déjeuner ? Mais il n’allait quand même pas me culbuter sur la mousse humide. Et moi ? Humide, moi, entre les cuisses ? Oui mon Julien. Retour à l’auberge. Le patron est obèse. Une serveuse, jeune, très brune, maigrichonne, obéissante, le patron la baise de temps à autre c’est évident, cette serveuse nous demande si nous prendrons un apéritif. Regard interrogatif de mon séducteur. Geste d’indifférence de la future pécheresse. — Tout de suite une bouteille de bordeaux, plutôt, Mademoiselle.— Très bien, Monsieur. Le patron nous apporte la carte. Nous sommes les seuls clients. Une côte de bœuf pour deux, ça vous irait ? Grillée au feu de bois dans la cheminée ! Ça nous va. Et avec ça ? Haricots verts, pommes sautées. Tiens, elles aussi ...