1. Une auberge au bord de l'eau


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail hotel, fsoumise, vengeance, cérébral, revede, Oral pénétratio, journal,

    ... ! Il est content de voir que je ris, mon futur amant mais il ne cherche pas à savoir pourquoi. Laissons-le penser que je savoure, moi aussi, les instants d’avant. Qu’elle est longue à cuire, cette côte de bœuf ! Anthony me parle du bureau, quel abruti ! Si je n’avais pas un devoir à accomplir, je m’en irais. Je ferais du stop, un automobiliste me trouverait jolie comme un cœur, il garerait sa limousine dans un chemin creux. Ou trois jeunes tambours, revenant de guerre. Alors envolés, mes sous-vêtements, et comblés, tous mes orifices ! Ou quelques loubards brutaux et d’une vigueur peu commune, violeurs peut-être, infatigables. Il ne semble pas y avoir de patronne, c’est la noiraude qui tourne et retourne la viande. Anthony regarde ses grosses fesses, quand elle est penchée. Enfin viennent côte et légumes. Il croit devoir me souhaiter un bon appétit. Pourquoi faut-il que je te trompe avec cet imbécile, ô Julien mon amour ? La viande est trop cuite, j’en étais sûre. Une glace sort du congélateur. — Quelle chambre prendront ces jeunes gens ? Une donnant sur la rivière ? Elle a une salle de bain-wc. Je m’en sers. Je me rince ensuite. — Je te laisse la place, Anthony. Bruits d’eau. Je regarde couler la rivière.Dans le mitan du lit la rivière est profonde, lonla, la rivière est profonde… Le dessus de lit est d’une propreté douteuse. Si je l’écarte, et la couverture avec, Anthony va penser que je suis bien pressée et il me ratera peut-être. Il sort, habillé. Me prend dans ses ...
    ... bras. Il me semble qu’il tremble un peu mais je dois me faire des idées. Mon dieu, quelle tendresse, ses lèvres sur mes paupières ! Mais je fonds ! Nos bouches se retrouvent. Il a eu la délicatesse de mâcher du chewing-gum. Je n’avais pas encore remarqué la couleur de ses yeux. Gris, avec du bleu et du châtain çà et là. Corsage, soutif. Ses mains sur mes seins, ses doigts qui pincent un peu, qui font tourner, qui pincent plus fort. J’aime bien d’habitude, mais là… — Tu me fais mal, Anthony !— Pardon, oh pardon ma chérie. Ses lèvres, sa langue qui fait vibrer les tétons. Il ôte sa chemisette. Il a de belles épaules, un poitrail avec des poils sûrement doux à caresser, je le ferai plus tard, un ventre bien plat, un mignon petit nombril. Je ne touche à rien, je le laisse faire. Il se met à genoux, il déboutonne ma jupe, qui tombe. Il descend ma petite culotte et applique ses lèvres sur mon… Je n’aime pas ce vilain mot. Il lèche, gentil toutou. Débusque le clito, le suce, l’aspire. Me pousse vers le lit. M’y voici assise, il enlève mes chaussures, je n’ai ni chaussettes, ni bas, ni collant, il… il soulève mon pied gauche et y dépose un baiser. — Tu as de très jolis petits petons, Delphine. Ce type est bizarre. Ah, que je te dise, Julien, il est donneur de sang, et tout récemment encore, donc sans risque, si bien que mon stérilet ne sera pas là pour rien. Anthony ne doute pas que je suis saine et il a bien raison. Nous en avons parlé, en adultes consentants et responsables, sous le ...