Tic ! Tic ! - 4
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Mature,
... wow ! Et tant pis si le mari se pointait, elles s’occuperaient de lui et elle de ses deux beautés. Elle sentit ses mamelons la chatouiller, sa vulve gonflée. Trop cool ce musée, se dit-elle. Marie, elle, faillit éclater de rire à nouveau en se demandant comme tout ça allait se terminer, même si elle s’en doutait.— Moi ces Sylvie, et trop hot le petit cul, dit la femme dans un murmure penché vers Marie-France en lui tendant la main. Celle-ci tourna la tête et loucha vers son décolleté en la lui la lui serrant.— Moi c’est Marie-France.— Je sais, je vous regarde souvent à la télé toutes les deux. Je ne savais pas que vous étiez amis peut-être amante apparemment.— Oui, les deux, depuis l’adolescence. Répondit Marie-France en faisant les yeux doux à la prof. Mais c’est un grand secret. Marie en mourrait de honte si ça se savait. Tu comprends ?— Je vais être muette comme une tombe, garder le secret jusqu’à ma mort. Je vous trouve bien plus jolie qu’a la télé Marie-France et vous aussi Marie. Y as pénurie de slips les filles ?— Ben oui, justement, Marie a...-Shuuuuutttt, fit Marie en faisant les gros yeux à son amie qui parlait beaucoup trop à son goût et qui se tut en souriant.— En tout cas, y fait chaud dans ce musé Madame Lemieux et.... tant mieux. Les caméras de sécurité fonctionnent ?— Oui, expliqua Marie-France, mais c’est en circuit fermer, personne ne nous regarde. Demain les enregistrements vont s’effacer.— Shhuuuut.... fit encore Marie exaspérer.— Oups ! Désolé !Mais, à ...
... peine une minute plus tard Marie-France se tourna vers la femme en disant ;— Vous vous êtes déjà masturbé en marchant Sylvie, c’est trop cool.— Non, j’essaye !Marie ne put s’empêcher de tourner la tête pour voir la prof glissé une main dans son slip, tout en mangeant son Sand-winch de l’autre et Marie France, ce masturber également en la regardant toute sourire. Marie hésitant un instant, mais se rappelant son orgasme ultra rapide s’y mit aussi. Pourquoi pas !L’écrivaineElle avançait à pas de souris dans le couloir sombre, chacune une main sur leur pubis. Les fesses et les poitrines se balançaient joyeusement, elles commençaient à gémir tout bas quand, tout à coup, une autre porte de chambre s’ouvrit devant elles. Les 3 femmes stoppèrent en même temps en se bousculant. Marie sentit de gros seins s’écraser contre son dos un instant et le sandwich. L’écrivaine apparue, une jolie petite blonde dans la trentaine, très ronde et toute ensommeillée. Marie en fut découragé tandis que celle-ci détaillait de bas en haut les trois femmes à demi nues en se posant visiblement des tas de questions et imaginant déjà probablement un tas de choses, surtout en les voyant toutes les trois une main sur leurs sexes. Les trois femmes se le lâchèrent comme si elle venait de s’y brûler les doigts. Faut dire que l’écrivaine ne portait pas grand-chose non plus, sans doute à cause de la chaleur, qu’un t-shirt d’Omer Simpson, l’idole de Paul, qui lui descendant jusqu’aux cuisses et il peinait a retenir sa ...