Premiers pas
Datte: 17/07/2017,
Catégories:
fh,
couleurs,
voisins,
amour,
Transexuels
facial,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
... avoir de suite immédiate, puisque je suis parti dès le lendemain en déplacement professionnel à l’étranger pour deux semaines. Inutile de dire que pendant toute la durée de ce voyage, les images de son corps et de cette soirée ont hanté mes pensées et mes nuits. J’étais moins concentré en réunion, je dormais moins la nuit, en bref ces quinze jours furent une torture, et j’étais on ne peut plus heureux de rentrer, retrouver mon chez-moi, et surtout la femme qui avait hanté mes dernières semaines. Les jours suivants, j’étais encore assez pris les soirs, donc nous n’avons pas pu poursuivre ce que nous avions entamé, et les « bonjour » assortis d’un clin d’œil lorsque nous nous croisions me mettaient d’autant plus à la torture. Je crois qu’elle a bien remarqué ma gêne, puisqu’elle assortissait de plus ces salutations d’un bref mais perceptible regard vers mon entrejambe, qui ravivait instantanément ces images, la vision de moi, nu dans mon salon après son passage. Je ne pouvais pas continuer, il me fallait absolument en finir et la revoir. Un matin (enfin plutôt en début d’après-midi), avant de partir au bureau, je glissai un mot sous sa porte l’invitant à me rejoindre chez moi à 20 h pétantes. Je rentrai chez moi à 18 h 30, le temps de me préparer il était 19 h et… j’attendis. Cette heure fut longue, très longue. Mon cœur battait très fort, comme la première fois que j’avais frappé à sa porte, comme un adolescent qui est sur le point de perdre sa virginité (ce qui n’était plus ...
... mon cas depuis un paquet d’années). Je n’ai pas fait de grande préparation romantique à base de pétales de rose sur le lit, ce n’est pas vraiment mon truc, d’autant qu’on n’était pas vraiment ensemble. Mais pour la surprendre, et sans doute aussi un peu dans l’espoir d’aller plus vite au but, je l’attendais en caleçon. Il me fallait éviter de trop penser à ce qui allait se passer si je ne voulais pas tremper mon caleçon avant même son arrivée. Vingt heures pétantes, on sonna à ma porte. Tout content, j’ouvris. Ma chère se tenait là, et apparemment elle avait eu la même idée que moi puisqu’elle avait monté les escaliers avec pour seul vêtement au-dessus de la ceinture un soutien-gorge en dentelle noire. Elle me regardait avec un regard assez coquin, constatant que nous étions sur la même longueur d’ondes. Je n’allais pas la faire attendre plus longtemps, je l’ai prise par la main et emmenée de force à l’intérieur de l’appartement, où je l’ai plaquée contre le mur pour l’embrasser fougueusement, tout en frottant mon entrejambe le long de son jean. Ces mouvements firent légèrement descendre mon caleçon, ce qui lui donna une bonne excuse pour se mettre à genoux et finir de le descendre, pour se retrouver à nouveau face à mon sexe déjà bien dur. Elle ne se fit pas prier et le mit dans sa bouche pour finir de le faire durcir. De là, j’avais une vue très agréable sur sa chute de reins et le string qui dépassait du haut de son jean, qui moulait à la perfection ses petites fesses à ...