Premiers pas - Histoires de Sexe

Premiers pas

... croquer. Cette fois-ci, je ne la laissai pas s’éterniser dans sa fellation, je voulais pouvoir faire ce que j’avais envie. Je pris donc ma douce par la main pour l’emmener vers mon lit, où je l’ai allongée. J’ai d’abord enlevé son soutien-gorge pour laisser respirer cette poitrine qui me semblait de plus en plus imposante et qui paraissait vouloir s’en échapper. Alors que je posai ma bouche sur ses seins durcis, j’ai fait glisser ma main le long de son corps, sur son ventre tout fin puis sur son jean. Je ne tenais plus et descendis pour déboutonner ce pantalon dont la vue me devenait insupportable. Les boutons enlevés, je m’apprêtais à enlever le vêtement, quand elle me retint un peu, apparemment très gênée. Je lui demandai ce qui n’allait pas, et elle se mit à balbutier, puis enleva sa main de la mienne, comme pour me laisser finalement finir de la déshabiller. Surpris, j’essayai ne pas prêter attention à sa réaction et ôtai dans le même mouvement son string. Et là, alors que j’avais le visage à proximité de son sexe, quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir que ce que je m’attendais à être un vagin était en fait… un pénis. Le même appareil que le mien. Ma chère et tendre était en faitun cher. Je dis bien était, puisqu’hormis ce « détail », elle avait tout d’une femme, et vivait presque comme telle. Je levai la tête et plongeai mon regard dans le sien, qui paraissait désolé. — Je n’osais pas te le dire, c’était si bon, me lança-t-elle d’une voix hésitante. Alors des images ...

... défilèrent dans ma tête. J’ai toujours été fasciné par ce troisième sexe. Entièrement hétéro, être avec un autre homme ne me faisait pas fantasmer le moins du monde, mais je trouvais que les transgenres avaient quelque chose qui pouvait m’exciter. Avoir un corps de femme – et Dieu sait que le sien était beau – avec un pénis d’homme pour donner du plaisir à l’autre. Une femme qui sait exactement comment faire jouir un homme. J’avais toujours rêvé d’en rencontrer une pour discuter, et en voilà une dont le sexe se trouvait à l’instant présent à dix centimètres de mon visage. Le sien me regardait d’ailleurs toujours de cet air désolé, et changea rapidement lorsque j’empoignai ce pénis qui me regardait avec envie et le portai à ma bouche. J’aurais été incapable de faire cela avec un autre homme, mais voilà, elle n’en était pas un. Elle avait été femme pour moi jusqu’à présent, ce n’était pas maintenant que ça allait changer. Et j’entrepris de faire des allers-retours avec la bouche, tout en continuant à masser son beau phallus, comme j’aimais qu’on me le fasse. Voilà ce qui avait rendu sa fellation de la dernière fois si divine : elle savait exactement ce qui faisait jouir un homme, puisqu’elle en avait été un. Voyant mon application à lui donner du plaisir sans hésitation, ma tendre posa ses mains sur ma tête, comme pour m’inciter à la prendre en bouche avec encore plus de vigueur, de force, et surtout de profondeur. J’amplifiai donc le mouvement, la voyant trembler au rythme de ...