1. L’innocente étudiante


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    Maëva était satisfaite. Elle venait de passer, avec, semblait-il, un total succès, l’épreuve de Droit des Affaires. Joyeuse et confiante, elle allait maintenant, comme prévu, prendre le train pour aller passer la soirée chez son petit copain, Loïc, qui habitait en grande banlieue. Il n’y avait pas longtemps qu’ils s’étaient rencontrés à la fac, ils étaient jusqu’alors sortis ensemble sur Paris uniquement, et, songea-t-elle, c’était la première fois qu’elle lui rendait visite chez lui.Toute à ses pensées amoureuses, elle se rendit à peine compte, en traversant le hall central de la gare Saint-Lazare, que des hommes et des femmes se retournaient sur son passage. Il faut dire qu’elle avait l’habitude ! Déjà, tout à l’heure, dans la galerie marchande où elle avait acheté de très mignons sous-vêtements, la jeune fille avait eu par moment l’impression d’être observée, épiée même, par des yeux masculins voraces. Et il ne lui avait pas échappé, tout à l’heure, en prenant l’escalier roulant, que l’homme placé derrière avait dû avoir une vue bien excitante sur ses bas qui révélaient leur couture. Cela l’agaçait, bien sûr, mais que pouvait-elle y faire ? A vrai dire, Maëva, se savait plutôt bien faite – et coquette qui plus est ! – mais elle ne se rendait pas encore compte à quel point sa beauté était rare.En vérité, elle n’avait rien à envier à la plupart des mannequins professionnels. Grande, mince, elle avait de longs cheveux châtains, assez lisses, qui cascadaient sur ses frêles ...
    ... épaules pour descendre jusqu’à la cambrure de sa chute de reins. L’ovale de son visage angélique était très réussi – cela, elle le savait ; elle-même aimait bien contempler dans une glace ses grands yeux bleus, son petit nez fin, et sa bouche pulpeuse. Elle savait aussi que malgré la minceur de sa silhouette, elle présentait des formes féminines tout à fait généreuses, et dont d’ailleurs elle était fière. Qui plus est, pour passer son examen, elle n’avait rien laissé au hasard. Profitant de la douce tiédeur de l’atmosphère à ce moment de l’année, elle avait choisi de mettre en valeur sa poitrine haute et pointue au moyen d’un chemisier blanc. À travers le tissu soyeux pointaient, emprisonnés dans un soutien-gorge blanc en dentelle, ses deux seins fermes de jeune fille. Un fin collier d’or avec une croix ajoutait encore une touche de raffinement au buste racé de l’étudiante.Mais Maëva pouvait aussi être satisfaite de la moitié inférieure de son corps. En effet, forçant sa nature pudique, elle avait mis ce jour-là une minijupe plissée grise qui s’arrêtait une trentaine de centimètres au-dessus du genou. Cette jupe moulait des fesses fort bien faites et permettait à Maëva d’exhiber ses jambes fines et longues, interminables même, magnifiquement fuselées et légèrement hâlées. Celles-ci, il faut le dire, étaient de surcroît gainées de bas clairs et juchées sur des escarpins noirs à talons hauts qui renforçaient leur galbe et allongeaient encore sa silhouette. Enfin, Maëva portait une ...
«1234...14»