L’innocente étudiante
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
... paire de lunettes de soleil, élégamment posées sur son front, et un petit sac à main Gucci assorti au reste de sa tenue.Elle n’avait pas encore songé aux horaires des trains. Consultant le panneau d’affichage et les indications que lui avait griffonnées Loïc, elle comprit qu’elle allait devoir supporter un long trajet : le train s’arrêtait à Conflans-Sainte-Honorine, à Mantes-la-Jolie ainsi que dans une kyrielle d’autres stations dont elle n’avait jamais entendu parler.« Bon, se dit-elle, c’est de toute façon mieux que de poireauter ici ». De fait, il n’y avait apparemment aucun endroit où s’asseoir pour attendre un hypothétique train direct ; et, debout, immobile, son corps de jeune fille attirait inéluctablement les regards. Si encore ce n’étaient que ceux des femmes… Maëva ressentait une joie secrète à les rendre jalouses ! Mais il y avait aussi les regards masculins, les uns furtifs, les autres insistants ; elle avait même vaguement l’impression que plusieurs hommes lui tournaient autour, l’air de rien.Aussi l’étudiante ne tarda-t-elle pas davantage à se diriger gracieusement vers le quai, pensant ainsi semer ses admirateurs. Le train était déjà là. Alors qu’elle marchait sur le quai, plusieurs hommes la dévisagèrent, enchantés et excités par la vision de cette silhouette élancée aux formes sublimes.Par la fenêtre, elle aperçut plusieurs places libres.Pour monter dans le wagon, Maëva allait devoir escalader le marchepied, offrant alors davantage encore ses jambes aux ...
... regards. Elle se raisonna et se dit que les hommes n’étaient pas si obsédés que ça. Mais alors qu’elle entamait son ascension, un homme se précipita juste derrière elle, à portée de mains. Gênée, elle fit semblant de ne pas sentir ces yeux exorbités qui se repaissaient de la vue de ses cuisses, qu’elle savait nues au-dessus des bas. L’homme vit la blanche et fine culotte serrée entre ces fesses de vierge, auxquelles, bien malgré elle, Maëva, en montant les quelques marches, imprimait un mouvement lascif. Le trouble de la jeune fille était tel qu’elle faillit perdre l’équilibre. Deux mains moites se posèrent alors sur ses cuisses, à la lisière des bas, posant leurs dix doigts sur les fesses fraîches et innocentes. Le visage de l’étudiante s’empourpra lorsque, se retournant, elle dut remercier l’inconnu qui l’avait aidée à se maintenir debout.Une fois montée dans le wagon, Maëva, peu rassurée car elle n’était guère habituée à ces excursions en banlieue, se pencha au dehors une dernière fois pour vérifier sur le panneau d’affichage planté au milieu du quai que le nom de sa gare d’arrivée y figurait bien. Elle sentit, juste derrière elle, assis sur des sièges isolés près des portes, des hommes promener leur regard lubrique sur ses longues jambes, ses hanches, ses fesses…La sonnerie retentit, les portes se refermèrent.Une fois assise sur une banquette libre, côté fenêtre, Maëva reprit son souffle. Tout de même, cet examen réussi, ce shopping dans les rues de Paris arrosées d’un doux ...