Satisfaire les fantasmes de mon patron
Datte: 23/04/2018,
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Dans la zone rouge,
... manquait. Avec ce plan édicté par Alfred, je tenais ma petite vengeance, Le grand noir allait comprendre qu'il ne fallait pas me contrarier ! Ludo avait passé sa main dans sa salopette et sortit le bout de son gland qu'il calottait et décalottait ne quittant pas mon doigt des yeux, qui frottait mon clito durci. « Bon, il faudra que tu attendes ma prochaine visite... pour remettre ça Ludo, lui dis-je en souriant » Alfred mit fin à l'entretien et les deux fermiers, prirent congé à contrecœur. En me faisant la bise, Ludo trouva quand même le moyen de m'enfiler son majeur dans le vagin. « Il me semblait bien que tu mouillais, petite Salope ! » Je téléphonais à Gérald, cette fois je fus persuasive et il accepta de venir dans trois jours. A son arrivée dans l'après midi, je lui présentais Alfred, mon patron. « Trixie, si cela ne te fais rien pourrais-tu aller, avec Gérald, à la ferme chercher ma commande de légume ? Cela ne vous dérange pas Monsieur ? Normalement c'est fermé mais, il m'a dit que je pouvais venir la chercher. - Non, non c'est un plaisir... » Arrivés à l’entrepôt, une fois à l'intérieur, je me dirigeais vers la caisse enregistreuse. Une pancarte ou était écrit en lettres capitales : DE RETOUR DANS 45 MINUTES, y était posée bien en évidence. « Mince alors Gérald, que faisons-nous ? On attends ?» Je m'avançais à l'intérieur du hangar, au milieu des étals de légumes, vers l'endroit ou Victor pouvait filmer. Le grand noir s'approcha de moi, souleva mes longs cheveux ...
... blonds et me déposa un baiser dans la nuque. Je me retournais et lui tendis mes lèvres. « Je crois savoir comment utiliser, ces 45 minutes... Je vais te sucer... Regarde, il y a une corde qui pend de cette poutre, laisse moi t'y attacher ce sera plus excitant... on risque de se faire surprendre... ce qui ne serait pas pour me déplaire... - Tu es toujours une vrai petite salope, mais oui tu as raison c'est excitant... » La corde pendait à droite de la montée d'escalier donnant au premier étage. Je fus obligée de monter sur une caisse pour lui attacher les mains au-dessus de la tête. « Eh, mais tu serres fort ! - Pour ne pas que tu te délies, si on se fait surprendre, répondis-je en riant » Puis, lentement je défie un à un les boutons de sa chemise, léchant son torse noir glabre et luisant, aspirant ses tétons, faisant des allers et retours de ses pectoraux à son nombril. Je m'attaquais aux boutons de la braguette, il ne portait jamais de slip, je glissais ma main à l’intérieur et sorti délicatement l'énorme rouleau de chair noire, qui trancha sur le beige de son pantalon. Ma main gauche retourna à l’intérieur et avec une sorte de dévotion j'extirpais ses testicules plus gros que des œufs de caille. Je les écartais légèrement vers l'avant et pour bien qu'Alfred puisse à travers les images apprécier le diamètre et la longueur de l'énorme hampe noire, ma main droite s'y referma dessus, elle était encore flasque, mais j'en faisais tout juste le tour. Lentement je descendis le long de ...