1. Satisfaire les fantasmes de mon patron


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... quatre jours accentuait le processus. Malgré sa laideur repoussante, mes entrailles avaient adoré sa bite et sa façon de me baiser. Il me suça la pointe des seins, qui dardaient en deux pointes brunes et dures au dessus des bonnets du soutien-gorge. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs qui effleuraient mon trou intime. Je gémissais de plaisir. D'un regard ayant l'air désespéré je fixais Gérald comme pour lui demander pardon d'apprécier les caresses prodiguées par cet espèce d'anthropoïde, il essayait de se libérer de ses attaches, en grognant et en insultant le gros homme. « Tu as vu... J'ai l'air de lui faire de l'effet à ta petite Salope... Ça ne t'excite pas ? » Un grognement de colère lui répondit. «Mon pauvre Gérald, tu n'es pas encore au bout de tes émotions, pensais-je, mais cela t'apprendra à m'ignorer si longtemps... » Le fermier ne revint pas longtemps après, avec à la main une fine baguette flexible, d'environ un mètre cinquante de long. Je subodorais qu'il avait du aller voir, si du côté de Victor tout se passait bien. « On va lui monter à cette petite pute, ce qu'elle encourt à se faire baiser par un salaud de noir ! » Il tendit la badine à son fils, et se planta devant moi à côté de son lui. Ils bandaient énormément tous les deux. Je compris ce à quoi j'allais avoir droit ! Je ne ...
    ... détestais pas... Je voulais le mettre légèrement en colère... celui qui allait officier... « Pourquoi ris-tu ? Demanda Ludo - Tu n'as qu'a te retourner et comparer ta bite avec celle de mon ami, celle de ton père ça pourrait aller, mais la tienne n'est vraiment pas longue ! Lui répondis-je -Tu vas moins rigoler, dit-il en passant derrière moi, un peu irrité. » Il m' asséna un léger coup de baguette dans le dos, la douleur me fit cambrer en avant. Il me frappa sur les fesses à petits coups saccadés : « Tiens salope ça c'est parce que tu aimes les noirs, et ça parce que tu aimes les sucer... et ça parce que tu te fous de moi.. » Je me tortillais, mais sans vouloir vraiment échapper aux coups. Il passa sur le côté, il me caressa doucement un sein avec la baguette, descendit vers le téton, en fit doucement le tour. Je tendais ma poitrine en avant comme pour recevoir le coup, celui-ci arriva sur la pointe brune durcie. La légère douleur me fit gémir, il fit de même sur l'autre sein. Et recommença encore et encore, son père entre deux séries de petits coups, aspiraient goulûment entre ses lèvres les mamelons érigés, gorgés de sang, comme pour apaiser la douleur, il avait inséré deux doigts dans ma chatte et la caressait. J'avais déjà subi ce genre de traitement, j'avais aimé. J'aimais me sentir dominée, j'aimais cette douleur, car il ne frappait pas excessivement fort. J'aimais ce plaisir glauque. Mes seins durcissaient et ma chatte était trempée, et du foutre coulait sur mes cuisses, ...
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