Sabine ou sa pine ?
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
h,
hh,
jeunes,
jalousie,
vidéox,
Masturbation
intermast,
Oral
... d’abord tout du long, comme j’aime que l’on me fasse, puis je me décide à l’empoigner. Le sang qui la gorge la fait palpiter dans ma main et je sens que la mienne en fait autant dans la sienne. Je regarde cette bite qui dépasse de plusieurs centimètres de ma main et jette instinctivement un œil à la télé. Mon regard va de la bite de Sylvain à l’écran, comme pour m’assurer que oui, c’est bien la même que je suis en train de branler en vrai et qui à l’écran sodomise Sabine dans d’abjects bruits de ventouses. Je réalise pleinement à cet instant que Sabine est au second plan, et que le sexe de Sylvain m’obnubile désormais. J’ai même envie de le sentir sur ma langue et dans ma bouche. Le sentir palpiter entre mes lèvres plutôt que mes doigts, le faire coulisser sur ma langue plutôt que ma paume et le faire juter dans ma bouche plutôt que dans ma main. Je suis pris d’une irrésistible envie de pomper une queue. Mais on est des mecs, bien virils, purs – ou presque ! – hétéros et bien cons de pas oser faire ce que l’on a envie. Je continue donc de seulement le branler, énergiquement, et je sens passer sous mes doigts ses veines gonflées, son prépuce humidifié et la base sèche et râpeuse de son gland. Coïncidences, retrouvailles, alcool, sextape… secrets avoués, actes osés et honte refoulée… sont autant d’éléments hasardeux qui ont contribué à créer la situation présente. Alors tant pis, merde ! Au diable les conventions, on mettra tout ça sur le dos de l’alcool… Sans la lâcher, je ...
... me penche vers sa bite et, d’un coup, l’englobe entre mes lèvres et l’aspire, la suçote tout en continuant à le branler. Je lèche toute la longueur de sa queue, jusqu’à sa base, où ses poils me chatouillent le nez. De par ma position, lui a plus de mal à continuer à me masturber, alors j’imprime des mouvements de bassin, pousse avec ma bite pour la faire gonfler entre ses doigts. Mais ce n’est pas assez, je veux le sentir plus loin dans ma bouche, pouvoir le pomper à fond, je veux qu’il crache son foutre dans ma gorge comme il l’a craché dans celle de Sabine. J’ai envie de connaître ça, faire gicler un mec. Je me déplace et m’agenouille devant lui, poussant la table basse et manquant d’y renverser nos verres. J’ai une érection si forte qu’elle me fait mal. Mais je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Je sais qu’une fois avoir joui, je n’aurai plus cet entrain, ni ce culot. À genoux entre ses jambes, je reprends ma pipe de plus belle tout en m’astiquant tout seul de l’autre main. Lui a les yeux fermés, tout à la gâterie que je lui prodigue, et moi, dos à la télé, occupé sur son manche, si bien que, ni lui ni moi, ne remarquons que la vidéo est finie, figée sur sa dernière image, exhibant une Sabine au sourire radieux, le visage marbré du sperme de Sylvain. Dans ma branlette folle accompagnée de ma langue qui racle son frein et tourne autour de son gland, soudain il se tend, sa queue enfle et se durcit encore et dans un râle, m’envoie dans la bouche de puissants jets de sperme ...