Esclave
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
humilié(e),
contrainte,
facial,
pénétratio,
sm,
attache,
sf,
... Et je vais commencer par toi et tes gros seins, Alys, sale petite chienne ! Je vais t’enculer si fort que tu ne pourras plus t’asseoir pendant un mois ! Et toi, Heline, ensuite ce sera ton tour ! Et toi aussi, putain de dégénéré ! En grognant, elle arracha la toge qu’elle portait pour nous montrer à tous sa grosse bite gonflée tendue sous son ventre grassouillet. Je compris en apercevant la seringue restée à terre, mais toutes durent comprendre en même temps que moi. — Elle s’est piquée, cria Heline. Elle s’est injecté la potion de vigueur. Retenez-la ! Mazela continuait de hurler en essayant de se faire l’une de ses domestiques qui luttait avec d’autres pour la contenir. Des surveillantes apparurent, venues de je ne sais où, et coururent prêter main-forte aux servantes et à Dame Heline. Si l’une d’entre elles ceinturait encore Alys, personne ne me prêtait plus la moindre attention ; ç’aurait presque pu être le bon moment pour fuir, si j’avais été en état de le faire… *** Mais au lieu de ça, j’avais perdu connaissance. Je n’avais pas fixé autant mon attention que sur cette scène depuis sans doute plusieurs jours, et ç’avait été trop, je m’étais évanoui de faiblesse. Lorsque je repris conscience, je mis un moment avant de comprendre où je me trouvais. Ce n’était pas la prison, à l’évidence… J’écarquillai les yeux et voulus me frotter les paupières, mais j’étais attaché ; une chaîne retenait mes poignets aux montants du lit sur lequel j’étais allongé. Et ça ne ressemblait pas à ...
... la demeure de Dame Mazela… Je m’étirai ; je me sentais mieux, physiquement, plus reposé. Bon sang ! Mais j’étais dans la chambre d’Alys ! Dans ce lit où nous avions déjà fait l’amour, où nous nous étions endormis l’un contre l’autre. De me savoir là me fit du bien. Physiquement reposé, mais aussi presque moralement détendu. Enfin… j’étais quand même attaché, encore. Et toujours nu comme un ver. Je voulus me reculer pour m’asseoir ou me redresser quelque peu, mais mes chevilles aussi étaient attachées. Impossible de me lever, ni même de me tourner. Prisonnier, encore. — Alys ? tentai-je d’une voix appuyée. J’appelai de nouveau après un instant. La première réponse vint finalement sous la forme de bruits de pas dans l’escalier voisin. Et la porte de la chambre s’ouvrit bientôt, mais ce fut Dame Heline qui entra. Elle me contempla sans un mot pendant quelques secondes ; je ne savais pas non plus quoi dire. Ses traits pâles étaient tirés et la fatigue et l’abattement se lisaient dans ses yeux. Elle finit par rompre le silence d’une voix morne. — Est-ce que tu te sens mieux ?— Euh… je… je crois que ça va, oui. Qu’est-ce que je fais ici ? Elle marqua une pause avant de répondre. — Je t’ai attaché pour deux raisons : la première pour ta propre sécurité, car les effets de la drogue et de son sevrage peuvent être très violents, et la seconde parce que je n’ai pas confiance en toi. De quoi me parlait-elle ? Confiance pour quoi ? — Où est Alys ?— Alys est emprisonnée à Tal-Mania.— Hein ...