1. Esclave


    Datte: 24/04/2018, Catégories: fh, grossexe, humilié(e), contrainte, facial, pénétratio, sm, attache, sf,

    ... ? Mais…— Il y a quelques jours, Dame Mazela nous a invitées, quelques autres dames et moi, pour une… une soirée, où nous devions encore profiter de ton corps. Alys m’accompagnait, à sa demande et à celle de Mazela.— Oui, je me souviens de ça. Et Alys a renversé la grosse qui s’est piquée avec la seringue qu’elle me destinait. Dame Heline parut un instant étonnée. — Je ne croyais pas que tu étais conscient. Personne ne le croyait, d’ailleurs, semble-t-il. Mais c’est bien ça, oui : quand elle a vu l’état dans lequel la drogue t’avais mis, Alys est devenue comme folle, et a frappé Mazela qui est tombée sur la seringue. Elle s’est enragée à son tour, subissant de plein fouet les effets de la potion.— C’est un juste retour des choses, ricanai-je.— Les surveillantes ont fini par la maîtriser, mais avec bien du mal.— Et ma belle Alys est emprisonnée à cause de ça ? Mais vous avez vu ce que j’ai subi, moi ? !— Toi tu es un dégénéré, imbécile ! Et Dame Mazela était Patricienne et Seconde Préfète du Grand Conseil d’Avila ! Ça ne me parlait pas vraiment, mais ces titres ronflants qu’elle portait apparemment semblaient avoir une importance quelconque qui devait justifier sa richesse et ses actes. — Je ne vois pas en quoi… Je m’interrompis en comprenant soudain. Elle avait dit « était » non pas parce que ces titres étaient anciens ou révolus, mais tout simplement parce que Mazela était morte. — Elle n’a pas survécu à la drogue ?— Non. Elle n’a pas eu ta chance. Je pouffai malgré moi ...
    ... avant de reprendre sur un ton cynique : — Ne comptez pas sur moi pour la pleurer. Mais sa réponse me surprit : — Je ne te demande pas de la pleurer. Ce n’est pas pour ça que je t’ai sauvé.— Sauvé ?— Tu crois que tu serais encore en vie sans mon intervention ?— Hein ? Mais je n’ai rien à voir avec…— Tu es une cause indirecte du décès de la Patricienne Mazela ; dans le meilleur des cas, tu aurais fini dans ta cellule de Tal-Mania… Elle marqua un nouveau silence. — …d’où pour commencer je n’aurais jamais dû te faire sortir, et où pour finir tu aurais crevé rapidement, vu l’état pitoyable dans lequel tu te trouvais lorsqu’on t’a découvert chez elle. Je soupirai avec impolitesse. — Bon… grand merci pour votre mansuétude, belle Dame Heline. Une étincelle de colère passa dans ses yeux, mais elle sut se contenir. — Vous permettez que je me lève ? Elle ignora superbement ma question et au contraire s’assit sur le grand lit, poussant quelque peu ma jambe gauche. — J’ai beaucoup perdu dans cette affaire.— J’en suis désolé.— Tout d’abord Alys, continua-t-elle en feignant de ne pas avoir remarqué ma nouvelle impertinence, qui me sert avec amour et dévotion depuis sa naissance… Pour l’amour, à mon avis, elle pouvait se brosser. J’avais l’audace et la fierté de penser que si Alys était amoureuse de quelqu’un, c’était peut-être de moi. Mais elle poursuivit en baissant les yeux : — …même si son cœur semble s’être tourné vers toi depuis ta venue. Ah ! Elle le reconnaissait quand même… Et ça ...
«12...121314...17»