BBQ
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
fh,
extraoffre,
inconnu,
Oral
préservati,
pénétratio,
totalsexe,
... une quadruple bise à Lilou. Tandis que je m’assieds à nouveau, l’entrejambe de ma femme ondule presque sous mon nez, et je distingue sans problème la petite pièce de lingerie qui lui sert de mini-culotte. Je soupçonne même qu’elle ait mis sur elle son fameux string spécial, un accessoire déniché lors de nos vacances à Ibiza, sur une côte plutôt hot. Un accessoire pratique quand on considère les mœurs libérées du coin en été. Confortablement installé dans sa chaise de jardin, Adriano m’adresse un sourire complice ; sa petite machination est sur les rails, il déguste, il savoure, tel un gros matou qui fait joujou avec ses deux souris… Je passe maintenant la parole à Lilou qui saura mieux vous expliquer la suite… J’aime voir dans les yeux des hommes, et aussi dans leur pantalon, l’effet que je fais aux mâles et avec René et Jacques, je suis agréablement servie, d’autant qu’Adriano ne m’a pas trompée sur la marchandise, les deux hommes ne sont pas mal de leurs personnes, tout en étant dans deux styles différents. L’idée de notre hôte est que je m’occupe séparément des deux invités, que je les vide (texto), sans que ça ne se sache, à la sauvette, en catimini. Puis de repartir un peu plus tard, comme si de rien n’était… Bref de jouer les belles garces, et d’être, en quelque sorte, le bon coup crapuleux du soir… Toujours est-il que je n’ai pas loupé mon entrée, mes deux victimes me zieutent sans vergogne, c’est tout juste s’ils n’ont pas la langue qui pend ! J’aime bien quand je ...
... fais ce genre d’effet à la gent masculine ! Je sens que je vais bien m’amuser ce soir. Mon cher mari dira une fois de plus que je joue les allumeuses, voire même les putes, mais ça m’excite d’exciter mon petit monde. Et puis, je sais très bien que ça l’amuse, lui aussi ! Mine de rien, c’est un sacré pervers dans son genre ! La soirée commence, je suis zieutée <à donf par les deux invités qui ne perdent pas une miette du spectacle que je leur offre avec ma robe légère et ma manie de croiser et de décroiser mes jambes, laissant souvent entrevoir le haut de mes cuisses et parfois le mince tissu de mon string rachitique. Comme insensible à mes charmes quasi dévoilés, Adriano met en route son barbecue. Il a une certaine habilité dans ce domaine et pas que dans ce domaine. À chaque fois que nous venons chez lui, nous nous régalons à coup sûr ! Et à tel point que je coucherais volontiers avec lui rien que pour ça. Heureusement, Adriano a bien d’autres cordes à son arc. Curieux de nature, Jacques pose une question à notre hôte, tout en me désignant : — Ça fait longtemps que vous vous connaissez, Lilou et toi ?— Houlala ! Pas mal de temps, en effet. Vaut mieux pas que je le dise, car l’âge d’une dame ne se dit pas ! Histoire d’ajouter de l’eau à son moulin fictif, j’interviens : — Nous nous sommes croisés sur les bancs de l’école, c’est dire… Puis un beau, Adriano est reparti dans le pays de ses ancêtres.— Eh oui, j’ai dû quitter ma mignonne Lilou, mon soleil d’ici, pour le soleil de ...