BBQ
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
fh,
extraoffre,
inconnu,
Oral
préservati,
pénétratio,
totalsexe,
... zob et le revêtir de latex en un temps record, mais là, je crois que je viens d’assister à un exploit en la matière ! Je n’ai presque pas eu le temps de voir la couleur de sa peau ou de son gland ! Crac (bruit de l’emballage qu’on déchire), zip (le préservatif qu’on enfile), et hop (zgeg en position victorieuse). À peine s’est-il protégé que Jacques me plaque contre le mur en bois, soulevant de sa main une de mes jambes pour mieux accéder à ma fente offerte, après avoir repoussé mon arachnéen string sur le côté. Puis sans plus de préambule, il s’enfonce victorieusement en moi, et il commence à me limer avec empressement et énergie. C’est un bon petit coup à la va-vite, ce qui n’est pas désagréable de temps à autre. Quelle différence entre ces deux hommes, Jacques et René ! Le jour et la nuit ! Il ne lui faut pas bien longtemps pour éjaculer, remplissant allègrement sa capote. À moitié essoufflé, il se retire lentement. Flegmatique, je remets en place mon string, puis je retourne vers la terrasse, tandis qu’il fait un nœud au préservatif qu’il vient d’enlever. Quelques minutes plus tard, le dessert est servi. Tandis que je le déguste, mes lèvres maculées de Chantilly, tout en regardant Jacques dans les yeux, je félicite notre hôte : — Pas mal ton dessert, Adriano ! Avec plein de crème Chantilly comme j’aime !— Oui, je sais que tu aimes ça ! Depuis le temps que je te connais ! Je suis contente de moi, j’ai rempli mes deux objectifs et je déguste un bon dessert, ma récompense en ...
... quelque sorte… Chacune de mes deux performances a été faite en quelques minutes, sans bavure, sans être découverte, avec naturel. Oui, je suis fière de moi ! Le reste de la soirée, les deux cibles sont toutes bizarres, parfois absentes. Moi, je ris sous cape, particulièrement satisfaite de mon double coup. Je vois bien que mes deux complices sont dans le même cas que moi. Félicitation, Adriano, c’est un beau scénario que tu nous as concocté là. Il est un peu moins de vingt-trois heures quand j’annonce qu’il faut que j’y aille. Une fois, Lilou partie, nous sommes restés à quatre hommes sur la terrasse, la nuit étant douce en cette saison. Adriano et moi voyons bien que nos deux vis-à-vis étaient comme perturbés, troublés. Nous rions sous cape, sachant très bien le pourquoi du comment ! La soirée continue un certain temps dans cette étrange atmosphère. Soudain, l’un d’entre eux lâche l’affaire en disant ce qu’il s’était passé. Curieusement, c’est René qui craque le premier, j’aurais plutôt cru que Jacques irait se vanter d’abord de sa bonne fortune. Le jeune homme s’agite sur place : — Ah Lilou, quelle gonzesse ! Ah si vous saviez ! Si vous saviez ! Vous n’imaginerez jamais !— Imaginer quoi, René ?— Ben… comment dire… elle m’a… elle m’a carrément fait une pipe dans la cuisine !— Nooon !? Lilou !?— Si ! Je te jure sur tout ce que tu veux ! Aussitôt, comme libéré, l’autre invité renchérit : — Attends, mon p’tit gars, ta pipe, c’est rien à côté de moi !— Comment ça, c’est rien ?— ...