Deus ex Machina
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sf,
... acceptation. L’envie de ressentir le pouvoir de Paul sur elle est plus forte, alors elle s’écartèle pour lui à deux mains tandis qu’il la maintient. Laura tente de se décontracter au mieux pendant qu’il progresse dans son cul, ce cul investi pour la première fois par un membre de chair. Paul s’enfonce en entier, sa verge engloutie jusqu’aux bourses par un séant dans lequel il se sent un peu enserré, mais sans excès, grâce aux bons soins préalables de Milton et de ses appareillages pervers. Il entame de lents va-et-vient puis, sentant que Laura reste bien détendue et réceptive, il en accélère le rythme et l’amplitude. Sous ses coups de boutoir, Laura éprouve pour la seconde fois de la soirée le plaisir paradoxal d’être sodomisée sans ménagement. Les sensations qui montent en elle sont bien plus fortes qu’elle ne l’aurait cru ; sa chatte laisse échapper sans discontinuer un miel odorant et son clitoris gonflé lui envoie de véritables signaux de détresse. Elle lance deux doigts habiles à l’assaut de son bouton flamboyant de désir, pour tenter d’apaiser l’excitation presque douloureuse qui s’est emparée de sa chatte. Associant la sarabande enfiévrée de sa main sur sa fente aux mouvements puissants de Paul dans son étroit canal, elle sent rapidement monter les prémices d’une jouissance qui ne tarde pas à enfler démesurément dans son bas-ventre. Ses gémissements se muent en grognements de plaisir puis le déferlement d’un nouvel orgasme la fait à nouveau hurler. Et c’est à ce ...
... moment précis que Laura est frappée par un phénomène inattendu et violent : au summum de son orgasme, une douleur insupportable jaillit dans son crâne, établissant comme un arc électrique entre ses tempes survoltées. Des motifs cabalistiques s’impriment sur sa rétine dans un flash aveuglant. Elle a l’impression de se précipiter vers un trou noir, tandis que sa conscience vacille. Elle perd rapidement connaissance dans les bras de Paul. oooOOOooo — Où suis-je ?— Doucement, restez allongée, Laura. Vous êtes en sécurité… Les premières paroles prononcées après un traumatisme sont souvent d’une banalité attristante, d’autant plus si le trauma a été violent. Laura se réveille dans un environnement inhabituel qu’elle peine à reconnaître. L’étrangeté du lieu disparaît petit à petit, à mesure que sa vision se précise. Paul est penché au-dessus d’elle, elle-même est allongée sur un lit, avec une perfusion au poignet. Il s’agit visiblement d’une chambre d’hôpital, peut-être celle d’un service d’urgences. — Paul, que m’est-il arrivé ? lui demande-t-elle, encore vaseuse.— Vous m’avez vraiment foutu les boules. On aurait dit une crise d’épilepsie, très brève mais très violente !— Je suis restée dans les vapes longtemps ?— Oui, ça c’est encore plus incroyable. Près de trente heures…— C’est impossible ! s’exclame Laura, paniquée.— Calmez-vous, vous n’avez rien, lui dit-il d’un ton rassurant.— Et qu’est-ce que vous en savez ?— Tous les examens possibles ont été pratiqués pendant votre perte de ...