Introduction
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
fsoumisah,
... savait qu’elle n’appréciait pas énormément l’alcool et Élodie fut donc ravie du rafraîchissement proposé. Ils commencèrent par bavarder de choses et d’autres, de leur travail, de leurs voisins, de leurs collègues, de leurs amis et de leurs familles respectives. La soirée était déjà bien avancée lorsque, les sujets venant à manquer, le silence se fit. Élodie décida qu’il était temps qu’elle se lance, d’autant qu’elle était totalement en confiance. — Vous savez, j’apprécie beaucoup ces moments passés avec vous.— Moi aussi, Élodie, lui assura-t-il en retour.— Vraiment, c’est très agréable. Je ne crois pas avoir déjà été aussi bien avec quelqu’un. En fait, j’ai peur de gâcher tout cela.— Que voulez-vous dire ? demanda-t-il, un peu surpris par cette déclaration.— J’ai envie d’être votre soumise mais j’ai peur que cela ne change notre relation. À ces mots, les yeux de Gilles brillèrent et un sourire complet envahit son visage. Il prit les mains d’Élodie avec douceur et souffla : — Élodie, j’ai très bien compris vos revendications et vos volontés. Je saurai faire la part des choses. Vous ne serez ma soumise que lors de jeux et de moments bien définis à l’avance. Le reste du temps, pourquoi notre relation serait-elle différente ? Enfin, je veux dire, je crois qu’elle sera forcément différente mais à mon avis, elle n’en sera que plus profonde et plus intense. Élodie fit la moue. Elle était terrorisée à l’idée de le perdre, que ce choix ne les éloigne l’un de l’autre. Elle avait passé ...
... des moments tellement agréables en sa compagnie. — Je… j’ai peur que…— Tout se passera bien. Faites-moi confiance. Élodie serra les mains de Gilles qui accepta la pression avec joie. — Je… d’accord, je serai votre soumise. Enfin, je veux dire, s’il vous plait, acceptez d’être mon maître.— Volontiers, Élodie, ça sera avec joie que je serai ton maître, annonça Gilles en passant du vouvoiement au tutoiement. Maintenant, Élodie, si tu le veux bien, en dehors de nos jeux, j’aimerai que tu me tutoies et que tu m’appelles par mon prénom. Lors des moments sexuels, vouvoie-moi et appelle-moi maître. Cela n’en délimitera que plus clairement nos relations.— D’accord Gilles. Le maître sourit puis souffla : — Je pense qu’on peut faire preuve de tendresse sans aller forcément jusqu’au sexe. J’aimerai simplement finir cette soirée avec toi, et non avec ma soumise. Tu veux bien ?— Oui, bien sûr. Il s’approcha alors d’elle, affichant clairement son désir de l’embrasser mais ne faisant pas tout le trajet nécessaire, obligeant ainsi Élodie à agir. Elle s’exécuta avec plaisir et le baiser dura. Élodie n’avait jamais été aussi bien embrassée. Ce fut un véritable plaisir, d’autant que Gilles s’amusait à poser ses mains sur son corps au moment où elle s’y attendait le moins. Elle fermait les yeux, si bien qu’elle ne voyait pas venir la caresse sur son bras, son épaule, sa nuque ou ses hanches, et il faisait en sorte qu’elles soient imprévisibles. Lorsqu’il s’éloigna enfin, Élodie était aux anges. — ...