Introduction
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
fsoumisah,
... J’adore ta façon d’embrasser, souffla Gilles.— Vraiment ? s’étonna Élodie, à qui personne n’avait jamais fait cette remarque.— Oui, vraiment, je ne le dirai pas si je ne le pensais pas, répondit Gilles avec assurance.— Hé bien, j’adore aussi ta façon d’embrasser.— Tu m’en vois ravi, annonça-t-il. Il prit son temps afin de graver cet instant dans sa mémoire, le visage souriant d’Élodie, sa nouvelle soumise, puis lança : — Il est tard. Tu devrais rentrer. On se voit samedi soir ? Tu viens dîner chez moi ?— D’accord, dit Élodie.— Tu sembles déçue. Tu t’étais attendue à plus ce soir ?— En toute sincérité, oui, mais en fait, j’apprécie que ça ne soit pas le cas.— Tant mieux, dit-il. Allez, rentre bien et repose-toi.— Toi aussi, Gilles. Ils s’embrassèrent rapidement puis se quittèrent. Ils étaient ravis, l’un comme l’autre. Les jours qui suivirent, Élodie se languit de son maître. Elle n’avait qu’une envie : le voir, lui parler, le toucher, l’embrasser à nouveau. Elle avait été excitée par ce simple baiser et en désirait plus, beaucoup plus. Il l’avait laissée sur sa faim, probablement de manière volontaire. Il cherchait sûrement à l’exciter par cette attente et si c’était le cas, alors c’était une totale réussite. Samedi, elle rentra du travail à dix-neuf heures. Elle se lava et se changea avant de se rendre chez Gilles. Elle ôta ses chaussures et le rejoignit dans la cuisine où la table était mise pour deux personnes et de laquelle s’échappait une odeur des plus agréables. ...
... Élodie proposa son aide mais Gilles refusa poliment, lui ordonnant de s’asseoir et de ne pas bouger sur un ton moqueur. Elle obéit volontiers. Gilles lui proposa de lui raconter sa journée - ce qu’elle fit - pendant qu’il finalisait le repas. Puis, il posa les plats sur la table et servit. Le dîner fut agréable, comme toutes leurs rencontres jusque là. Gilles proposa ensuite de se rendre au salon. Ils s’assirent dans le canapé. Gilles tamisa légèrement la lumière puis annonça : — Élodie, je vais maintenant devoir te poser des questions plus… intimes. Cela va m’aider. Essaye de me répondre avec la plus grande sincérité possible. Tu as confiance en moi. Tu sais qu’en aucun cas je ne vais me moquer ou te juger. Élodie hocha la tête. — Bien, j’ai besoin de savoir ce que tu aimes, ou au contraire détestes, en matière sexuelle.— Je n’ai pas énormément d’expérience.— C’est justement pour ça que je dois te poser des questions. Je dois savoir ce que tu connais ou ignores, ce que tu aimes ou détestes. Tu veux bien ?— Oui, bien sûr.— Bien. Tu m’as déjà dit avoir lu et vu des scènes érotiques. Donc, je pense que tu pourras répondre à la question : Qu’est-ce que tu n’as jamais fait avec tes précédents amants ?— Je pourrai y répondre, en effet, dit Élodie, mais je crois sincèrement que ça serait plus rapide de te dire ce que j’ai fait. Gille sourit puis souffla : — D’accord, comme tu veux. Vas-y. Au fait, ça te dérange si je prends des notes ?— Du moment que tu ne les publies pas sur Internet, ...