1. Une sœur, une mère (3)


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de bonheurs futurs. Arrivés à la maison, ju’ commençait déjà à s’endormir dans la voiture. Par contre, maman à l’air particulièrement en forme ; heureux, c’est elle qui conduisait ! Maintenant elle est déchaînée. Je retrouve aussi une bonne forme. Elle à l’air de compter sur moi car elle n’a pas envie de dormir tout de suite. J’aide donc ma sœur à se déshabiller et se coucher et je me retrouve seul face à ma mère. Elle semble vouloir mettre en pratique illico ses dernières conclusions avec moi. Elle m’invite à la déshabiller pendant qu’elle me retire mes vêtements. Je sens sa peau, son odeur… on se caresse, on se câline… quel plaisir ce contact charnel ! Elle me décalotte le sexe complètement bandé. Je lui passe la main sur sa petite touffe et ses petites lèvres brûlantes. On se retrouve nu et excité dans des bras l’un de l’autre. Elle me serre et me roule une pelle mémorable à grand renfort d’enroulement de langue. Puis elle se couche le dos sur le matelas au milieu de l’espace encore libre dans une position de jambes écartées qui ne permet guère de douter de ce qu’elle attend. Je viens donc sur elle, mon manche ayant presque à mon insu compris le message. Il glisse dans la fente chaude et déjà bien mouillée. Ce qui entraîne un râle mémorable qui force ma sœur à rouvrir les yeux… elle assiste en première loge au frère qui tringle sa mère. Et c’est du grand jeu dans les cris, les râles et ça dure, et ça dure… Je fais des progrès, je tiens de plus longtemps avant ...
    ... d’éjaculer malgré le malaxage en règle de la bite que me fait subir ma partenaire. Julie a les yeux grands ouverts maintenant d’un défi à relever ! Nous n’avions pas encore vu notre mère ainsi ; nous comprenons mieux maintenant pourquoi elle a quitté notre père. Cet ébat finit le réveil de ma sœur. Respirant d’une nouvelle vigueur, elle se relève et vient à mon secours jouer les soigneuses en léchant ma bite encore pleine de mon foutre et des sécrétions maternelles, puis elle continue en aspirant la chatte de sa mère provoquant quelques ah de jouissance supplémentaires. Elle a retenu aussi les leçons de sa marraine… Mon sexe, reprenant sa vigueur, je lui propose alors de m’occuper d’elle… Elle laisse faire, un peu passive malgré tout, mais me gratifie en final d’une explosion de jouissance plus que débridée… Heureusement que nous ne vivons pas en appartement : les cris de mes partenaires mettraient un immeuble en rut ! Comblé, je viens m’allonger entre mes deux partenaires. Je crois que maman dort déjà. Ju’ me fait une petite place dans ces bras. Heureusement elle ne m’en demande pas plus, nous sommes tous maintenant satisfaits… et épuisés. C’est une révolution dans ma vie. Petit à petit je réalise la sensualité qu’il y a dans ces nouveaux contacts entre nos peaux nues. Cette proximité que je prenais autrefois pour une gêne, maintenant me réjouis, agrémentée de ces chaleureux frôlements. Est-ce un souvenir inconscient des caresses apaisantes de maman lorsque que j’étais bébé ? J’en ...
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