1. Une sœur, une mère (3)


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Elle rigole : Ca ne fait rien car mes nouveaux collèges m’ont parlé d’un resto cuisine familiale très bonne et pas chère, et si vous voulez bien je vous y emmène ce soir… bien sûr après une petite douche et un habillage… Ju’ a toujours sa peinture sur le sein et le bout du nez. Nous sautons au cou de maman pour la remercier puis nous partons tous les deux prendre ensemble une bonne douche où chacun savonne, rince puis essuie l’autre avec tendresse. Nous finissons l’exercice dans les bras l’un de l’autre par un gros câlin : - Tu es ma sœur bien aimée. – Toi aussi mon frérot ! Tout cela devant maman qui était entrée dans la salle de bain pour se redonner un coup de peigne et se refaire une beauté. Nous avions oublié de fermer la porte. Elle finit par nous dire : — Dépêchez-vous les enfants, je vous attends ! Ces paroles nous ramènent à la réalité, très vite nous sortons pour nous habiller et nous préparer dans la chambre et toujours ensemble. La soirée se passe comme prévu, le restaurant est agréable, la cuisine et simple et traditionnelle, c’est très bon ; après cet après midi de jeûne et d’efforts nous sommes affamés. Pendant le repas nous discutons de tout et de n’importe quoi et puis des travaux en cours. A cette occasion maman nous apprend qu’il serait mieux de laisser sécher notre peinture plus de temps que prévu, c’est un conseil de ses nouveaux collègues car il faut lui laisser le temps de durcir avant de mettre la colle du papier dessus, sinon ça risque de la faire ...
    ... craqueler ! Nous devrions donc supporter la promiscuité dans notre chambre plus longtemps. Sauf si ça nous indispose vraiment ? C’est la question de maman ; elle ajoute, avec un regard dans ma direction, qu’elle est plutôt ravie de ce rapprochement avec ses enfants. Pour nous, ce déménagement a tellement bouleversé nos vies et surtout nos repères que plus rien ne nous gène vraiment. Avant de répondre, je regarde ma sœur qui a peut-être d’autres exigences mais ce soir elle ne semble pas en état de les formuler… Je parle donc, pour ménager le futur, qu’on peut toujours essayer pour voir ! Et de toute manière si on enchaine les travaux de notre chambre on devra de nouveau cohabiter à trois, mais cette fois, dans la chambre maternelle. Sur le chemin du retour, maman nous explique que cette nouvelle intimité qui s’installe dans notre famille n’est peut-être pas, dans le sens traditionnel du terme, très morale mais qu’elle la trouve plutôt plus agréable à vivre et comme ça ne fait de mal à personne… Maintenant que les femmes de notre petite famille maitrisent leur fécondité, pourquoi ne pas profiter du plaisir que cela nous permet… Il faudra seulement rester discret avec papa et puis avec l’extérieur en général, on n’a pas vocation à révolutionner l’ordre social. Elle nous explique qu’il n’y a pas lieu de se prendre la tête : Comme nous semblons aimer chacun les câlins et le sexe, nous avons ensemble tous les ingrédients pour nous rendre heureux sans que ça hypothèque nos possibilités ...