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Une sœur, une mère (3)
Datte: 25/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... parler avec les détails les plus croustillants : notre douche commune après une fatigante journée puis nos ébats dans le lit ! A ma surprise, elle n’était pas choquée du tout de ce qu’elle apprenait, plutôt amusée. Elle était maintenant rassurée que ma première expérience soit avec notre mère plutôt qu’avec elle – C’est ce qui pouvait nous arriver de mieux : deux débutants ensembles ça ne doit pas faire des choses terribles ! Et puis elle cherchait des confirmations de ce qu’elle avait appris ces derniers jours. Maman n’est pas aussi vieux jeu qu’elle le pensait ! Là-dessus, elle est venue se coller à moi avec plus d’insistance et pour projet de rattraper le temps perdu, maintenant qu’elle était protégée… Et puis, elle se voyait bien aussi expérimenter le coup du savonnage commun. Je lui expliquais que c’était après une journée de travail… ce qui ne l’inquiète pas car avec la peinture on passe beaucoup de temps à attendre que ça sèche ! On commence à, se caresser, se chatouiller, se chamailler… J’explore son corps à la recherche des différences avec maman. Je commence à m’exciter et lui fait un gros bisou d’amour sur la bouche… Elle me repousse dans un grand rire : — J’ai faim ! Et puis on a du travail, il faut passer notre première couche ! Elle se moque de moi en prenant les intonations maternelles… Elle se lève et m’entraine vers la cuisine. Maman nous a laissé du café chaud dans la machine et les petits pains sur le meuble. Nous déjeunons tous les deux entièrement nus ...
... sans que ma trique du matin ne la dérange de trop ! Elle fait un sort à son petit pain et son café rapidement, à croire que le séjour avec sa marraine lui a laissé des manques. Mais j’en comprends vite la nature lorsque rassasiée, son regard lubrique tourné dans ma direction et surtout mon bas ventre m’indique la priorité des tâches qu’elle envisage pour la matinée. Elle n’attend même pas ma dernière bouchée pour venir s’assoir sur mes genoux. Elle m’attrape par le cou pour me rouler une pelle mémorable. Je sens ses seins qui se frottent contre mon buste, ses cuisses qui me coincent mon bâton contre mon ventre. Après ce baiser goulu, elle me fait face malicieusement maintenant en me fixant dans les yeux ; elle se relève pour me chevaucher et venir s’empaler sur mon bâton bandé à exploser. Je rentre en elle chaude et humide ; mais c’est beaucoup plus serré que maman ! Je reste sidéré par l’urgence de la situation car Ju’ d’ordinaire si bavarde a pu mener cet accouplement à fond sans dire un mot. J’ai pu seulement suivre la progression de mon bi dans son intérieur par l’évolution de son regard, passant de vigueur à l’extase. Maintenant elle entreprend un mouvement de balancement en hauteur, un peu comme une cavalière sur la selle de son cheval pour le mettre au galop. Je sens ses cuisses qui m’enserrent, son ventre qui se tend. L’effet est sublime ; je la tiens dans mes bras tout en lui laissant la liberté d’animer cette cavalcade infernale qui va nous amener tous les deux aux ...