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Une sœur, une mère (3)
Datte: 25/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... portes de l’extase. Subjugué je regarde son beau visage souligné par un rictus d’effort et de jouissance. Ce qu’elle est belle : « - Ju’, je t’aime… » Cette cadence diabolique nous mène à l’explosion ; je sens ses muscle qui se tendent ses yeux qui se ferment elle m’envoie un hurlement de louve tandis que moi aussi au paroxysme je me vide dans son ventre par grandes giclées. Enfin, comblés nous finissons tendrement enlacés. Je réalise à peine ce qui vient de m’arriver, comment ma sœur vient de purger mon sexe de ses envies. Une pensée me traverse l’esprit comme un éclair et je ne peux taire ma surprise : ce n’est pas ta première fois pour une telle aisance ? Elle me regarde mi sourire, mi sérieuse : - Pour poser mon stérilet, la doctoresse a mis un coup de bistouri dans mon hymen pour avoir la place pour passer. Son bistouri était chloroformé et ça ne m’a pas fait mal. Et puis après son travail, elle m’a enduit tout le vagin de crème apaisante et désinfectante en me disant que ce serait plus agréable pour mes premiers rapports… Elle pouvait faire autrement et m’a posé la question mais cette solution me convenait très bien… Et j’espère qu’à toi aussi. Elle ajoute : dqudrrmy — Tu sais, c’est fini pour les femmes « Tu dois enfanter dans la douleur ! » Elles peuvent avoir des rapports sans pour cela enfanter… ni souffrir ! Elle semble avoir intégré tous les bouleversements que nous venons de subir avec ce déménagement et elle n’a pas l’air de m’en vouloir pour ce qui s’est ...
... passé avec maman. Maintenant qu’elle est bien réveillée et temporairement rassasiée elle retrouve toute sa bonne humeur et sa tendresse à mon égard. L’option qu’elle a choisie me convient… Nous n’avons toujours pas pris la peine de nous habiller et je peux admirer la beauté de ses formes : sa peau est claire, un peu moins blanche que maman, souvenir des dernières vacances au soleil. Les fesses et la poitrine sont plus pâles ; le naturisme n’était pas jusqu’à présent dans les traditions de la famille, surtout avec papa. Il critiquait facilement les femmes qui faisaient du topless… Sur ce sujet, il était en opposition avec notre mère que j’ai parfois surprise lorsqu’il était absent de se mettre torse nu ou de changer son maillot de bain quasiment devant moi. Ma sœur était devenue plus pudique à la puberté. Avant, il lui arrivait d’oublier de mettre son maillot à la plage. Maman devait en être un peu complice et mon père lorsqu’il découvrait, braillait ! J’ai entendue ma mère dédramatiser : — Regardes comme elle est mignonne comme cela et puis que veux-tu qu’elle cache ? Ces arguments le faisait bougonner un peu plus et moi j’en avais déduit que pour nous les garçons nous devions cacher nos choses qui pendouillent… car je trouvais en effet bien discrète la petite cicatrice de ma sœur au bas de son ventre. Les choses ont bien changé lorsque sa poitrine à poussé, elle est devenue très ombrageuse vis-à-vis de moi, en se cachant farouchement. Je me rappelle les cris lorsque notre mère ...