1. Une sœur, une mère (3)


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’aidant à se changer, par mégarde, laissait fuiter un petit bout de peau interdite… Il a donc fallu ce déménagement et notre chambre commune pour que je découvre la beauté du corps de ma sœur. Et ce matin elle était entièrement nue, sans aucune gêne et sans me faire non plus de remarques sur mon sexe trop bandé ou mon œil trop curieux. C’est vrai, j’avais trouvé une parade à ces observations un brin castratrices en justifiant que c’était sa beauté qui était en cause et que je la trouvais vraiment admirable ! Cette fois-ci pour satisfaire à la nouvelle mode de notre famille, elle avait décidé de ne pas s’habiller pour notre journée de travail. Ainsi aucun vêtement n’aurait à souffrir de tâches de peinture et comme les produits modernes sont à l’eau c’est facile à retirer sur la peau… La déduction était imparable, et puis comme cela, je pouvais me régaler l’œil. Elle le faisait aussi pour ça car je crois qu’elle avait pris goût à se laisser admirer. Nous avons donc entrepris notre première phase de travail ainsi à poil ! J’étais aux anges lorsqu’elle montait à l’escabeau, reluquer les envers d’une femme me faisait de l’effet… Il y avait un nouveau crochet disponible pour placer l’anse d’un pot de peinture ! Toute souriante elle profitait, elle aussi, du spectacle. Lorsque nous passions l’un près de l’autre, c’était l’occasion de câlins et surtout de bisous, plus pratique avec les mains sales ou occupées. A la suite d’une maladresse elle s’est retrouvée avec une trace de ...
    ... peinture sur un sein ce qui lui faisait une coquetterie supplémentaire. Mais notre tenue permettait des baisers sur toutes les parties du corps comme les fesses, la poitrine ou le ventre. Alors que j’étais assis sur le plancher à m’occuper de la plinthe elle s’est approchée de moi pour admirer mon œuvre, je me suis mis à lui embrasser le ventre. Ça lui plaisait, et elle s’est offerte devant moi les jambes un peu écartées… Je lui ai alors léché le sexe. Quel délice de passer la langue entre ses petites lèvres charnues. C’est la première fois que je découvrais le parfum de sa mouille, je découvrais aussi ses parties hautement sensibles, pour m’encourager elle me caressait les cheveux, puis elle m’a tenu la tête à deux mains, me guidant dans mes coups de langue et m’encourageant des ses râles : — Oh oui… continue… encore c’est bon… Puis brusquement, alors que je devais lui asticoter son petit bouton, elle à hurlé un grand coup à en perdre l’équilibre, je l’ai rattrapé de justesse lui barbouillant un peu les cuisses avec mon pinceau. Heureusement mon travail était presque fini, je n’étais plus en état de continuer et comme elle voulait me rendre la pareille… J’ai bâclé prestement la fin de la couche et rapidement avant que ça sèche nous avons retiré ces taches sur nos corps et nous sommes réfugiés dans notre chambre pour un grand câlin généralisé. Encouragé par le début de tout à l’heure nous nous sommes retrouvés très vite tête bèche en 69 pour une caresse buccale réciproque. Quelle ...
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