1. Nymphomanie


    Datte: 26/04/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, plage, campagne, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, jouet, confession, totalsexe,

    J’ai 58 ans et suis mariée depuis 1973. Après notre deuxième enfant en 1977, mon mari commença à me parler de son désir de pratiquer l’échangisme. Il s’abonna même à une revue où des couples se proposaient : je refusai alors fermement d’accéder aux envies de mon mari. À cette époque, nos relations sexuelles ne m’apportaient pas de plaisir ; jamais après deux ans de mariage, je n’avais connu l’orgasme. Mon mari n’insista pas sur le moment mais, plusieurs fois par an depuis, il me reparla de ses désirs, qui peu à peu évoluèrent vers l’envie de me partager avec un ou plusieurs hommes. Pendant toutes ces années, la seule entorse que nous fîmes, fut – fin 77 – une soirée arrosée avec un couple d’amis, où nous fîmes l’amour côte à côte dans la même pièce, après que nous les femmes, entièrement nues, nous nous soyons embrassées et caressées de façon très sexuelle. Je me souviens encore de la douceur de son vagin et de son clitoris turgescent. C’est à la suite de cette soirée que je me retrouvai enceinte de mon troisième. Après la naissance de cet enfant, je passai par une période debaby-blues : trois enfants en quatre ans, j’avais l’impression d’être toujours enceinte ! Lassée de ne ressentir aucun plaisir avec mon mari, je faillis accepter de fréquenter un club échangiste : je me disais que, peut-être, un autre homme saurait me faire jouir, mais quelque chose, peut-être la peur de le perdre, me fit renoncer au dernier moment. Puis, fin 78, un collègue de travail me dragua ; je ...
    ... me laissai aller à un flirt très poussé qui éveilla ma libido. Ceci dura jusqu’en début 80 mais, jamais je ne laissais mon mari être partie prenante. Depuis, les relations sexuelles avec mon mari se sont grandement améliorées : je jouis quasiment à chaque fois lorsque nous faisons l’amour. Et, à plus de 58 ans, nous avons une vie sexuelle encore très active : minimum trois fois par semaine. Durant toutes ces années et même encore aujourd’hui, le plaisir de mon mari fut de me photographier nue : il possède une quantité impressionnante de clichés me représentant à tous les âges et dans les positions les plus érotiques, voire pornographiques. Les plus anciennes sont en noir et blanc. Au début, lorsque nous habitions dans une grande ville, il les faisait développer chez le photographe du coin. C’était toujours un plaisir pour lui d’aller les chercher. Depuis que nous habitions une petite commune, il développait lui-même les clichés noir et blanc, et allait dans la ville la plus proche pour faire développer les clichés couleurs. Avec l’avènement du numérique, il me mitraille à tout-va, a même diffusé sur des sites web certaines de mes photos, mais continue de faire faire les tirages papier par le même photographe. Lorsque je vais en ville, je ne peux m’empêcher, en passant devant son magasin, de ressentir une légère excitation : j’y suis même entrée un jour, sous le prétexte de demander un renseignement, afin de connaître la tête de celui qui connaissait mon corps sous toutes les ...
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