Nymphomanie
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
fhhh,
plage,
campagne,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
confession,
totalsexe,
... éjaculation abondante. Je les reçus avec bonheur au fond de moi. À deux reprises chacun, ils jouirent dans mon ventre et dans mon cul. Ce fut super délicieux sentir leur sperme chaud gicler en moi, bien meilleur que la veille avec mon mari. Nous allâmes ensuite nous baigner et ils se moquèrent gentiment de moi, car, leur sperme s’écoula de mon ventre et de mon cul le long de mes cuisses et de mes jambes pendant tout mon trajet jusqu’à l’eau. Pendant les six mois qui suivirent, ma nymphomanie m’entraîna vers les situations les plus extrêmes. Mon mari en profita pour m’emmener au moins trois fois par semaine dans des clubs libertins où je me donnai à tous les hommes qui voulaient de moi : ça le mettait dans un état d’excitation tel qu’il ne pouvait s’empêcher, à chaque fois, de jouir avant de me baiser. Il m’exhiba de plus en plus sur internet, en ville, au cinéma, dans la voiture et sur les aires de repos. À chaque fois que des hommes étaient présents, ils purent profiter de moi. De mon côté, je continuai à voir régulièrement mes deux petits vieux ; j’utilisai tous les jours mes jouets sexuels, je me livrais à plusieurs reprises au bon vouloir du propriétaire de l’entrepôt. Je revis le groupe de jeunes ; ils m’emmenèrent dans leur hangar où cinq nouveaux ...
... participants purent me baiser avec les neufs autres. Je recontactai« Jac… et Mi… » qui m’organisa trois autres séances de sexe extrême durant lesquelles je ne mis aucun masque. Mais ma santé se dégrada, je maigris, et mon mari s’inquiétant me pris un rendez-vous chez un médecin. À l’écoute de mes problèmes, je le sentis mal à l’aise : il me demanda de l’attendre dans la salle d’attente pendant qu’il voyait un dernier patient, puis, après qu’il l’eut fait sortir, il ferma la porte à clé, et me demanda de me déshabiller et de le sauter. Mon corps ne put lui refuser et je le baisai de telle manière, que je le laissai épuisé, vidé au sens propre, nu sur sa table d’examen, à la limite du malaise. C’est quinze jours plus tard que je ressentis les premières douleurs dans mon bas-ventre ; on me découvrit une tumeur de l’ovaire qui, aux dires du chirurgien qui m’opéra fin décembre, était responsable, par sa sécrétion hormonale, de ma nymphomanie. Dans mon lit d’hôpital, je termine le récit de ces huit derniers mois. Je me sens apaisée ; je ne suis plus taraudée par le désir. Je ne regrette rien de ce qui s’est passé pendant cette année : je ne m’en sens pas responsable. Par contre, je pense utiliser tout ce que j’ai appris sur le plan sexuel dans les mois à venir.