En ton absence
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
copains,
forêt,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
jouet,
attache,
orties,
init,
lettre,
prememois,
... !— Tu n’as que deux ans de plus que nous, et c’est toi que nous aimons. Les autres filles ne nous intéressent pas.— Vous avez essayé ?— Jamais.— Non ? Vous plaisantez !— C’est comme ça. Tout le monde n’est pas dégourdi comme toi… Tu as dû en faire, toi, des ravages, à Paris comme ici, avant.— Oh, pas tant que ça !— Tu n’as jamais été amoureuse ?— Bof… Ça, tu me le pardonneras. C’est un gros mensonge, sois-en sûr… Ma réponse leur donne de l’audace : — Nous te cherchions, ce matin. On a décidé de te parler. C’est pour ça qu’on t’a demandé si tu avais quelqu’un à Paris. Je réponds que je n’ai personne. Mille pardons, mon chéri. — Alors, l’un de nous a peut-être sa chance ?— Et que fera l’autre ?— Il s’effacera, la mort dans l’âme. Ils sont trop mignons. — Dites-moi ce que vous envisagez de faire avec moi.— L’amour, bien sûr ! Cri du cœur. Ils ont répondu d’une seule voix. Je peine à dissimuler mon envie de rire. Je me tourne vers Julien : — Les deux à la fois ? On peut partager comme ça, quand on est vraiment amoureux ? C’est le piège. La réponse est oui, nous le savons, toi et moi. Pas eux. Pas encore. — Non, bien sûr, murmure-t-il, tristement. Alors moi de répondre que dans ces conditions il m’est impossible de choisir. Il soupire qu’il voit bien qu’ils n’ont aucune chance… Mais il continue : — On reste amis, hein ? On se baigne cet après-midi à Saint-Maurice, comme autrefois avec ton frère ?— Mais si vous voulez. Saint-Maurice est une petite plage au bord de la Loire.Là où ...
... je t’emmènerai comme le susurre cette publicité dont nous trouvons la mièvrerie insupportable. À propos : mes parents ont hâte de faire ta connaissance. « Si toutefois tu nous juges dignes d’être présentés à cet intéressant jeune homme » a dit mon père. Humour familial. Je continue. Aux alentours de trois heures de l’après-midi, bikini rouge sous jupe bleue et chemisier beige, je chevauche mon vieux vélo et dix minutes plus tard je vois mes deux dadais qui prennent le soleil, en slip de bain évidemment. Nicolas a quelques poils follets sur la poitrine. Chez Julien ils sont plus abondants et noirs. Je m’allonge entre eux deux. Puis nous chahutons un peu dans l’eau. Sous prétexte de me faire boire la tasse, leurs mains s’aventurent un peu sur mes seins, mes cuisses et mes fesses. Ces jeux nautiques sont bien pardonnables mais je m’esquive, il ne faut pas se galvauder. Nous retournons sur le sable. Je minaude. — Vous cherchiez à me noyer, méchants !— Pour pouvoir te faire du bouche-à-bouche, me répond Nicolas. Je soupire mais ne dis mot. Comme s’il était nécessaire de noyer la fille pour l’embrasser… Quels ballots, ces deux-là ! Nous restons allongés sur le sable, à prendre le soleil. Soudain Nicolas : — Avant, tu enlevais le haut de ton bikini.— Comme tant d’autres filles !— Les autres filles on s’en moque. Mais toi…— Ah bon ?— Oui. Alors pourquoi ne pas le faire aujourd’hui ?— S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir… Assise, je me débarrasse de mon top. Ils me regardent et se ...