En ton absence
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
copains,
forêt,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
jouet,
attache,
orties,
init,
lettre,
prememois,
... gauche. Je laisse faire, bien sûr. Puis voici les lèvres de Nicolas sur ma tempe, et son souffle dans mes cheveux. Nous restons silencieux. — Tu es une gentille fille, Sophie, me dit Julien. Une amie, hein, seulement une amie, hélas ?— Vous êtes de gentils garçons. Je vous aime bien. Mais si je choisis l’un de vous, je ne veux pas que l’autre aille noyer sa détresse dans les eaux de la Loire.— Bien sûr, soupire Nicolas. Ses lèvres frôlent ma joue et y déposent un petit bisou. Puis c’est mon autre joue qui reçoit un bisou de Julien. La main de Nicolas glisse de mon épaule à mon sein droit qui est nu, je te le rappelle. Julien murmure qu’il va s’en aller pour nous laisser tranquilles. — Non Julien, reste. Sa bouche s’approche alors de mes lèvres. Je tourne un peu la tête pour un premier petit vrai baiser. La main de Nicolas quitte mon sein. — C’est à moi de partir ?— Non Nicolas, reste aussi.— Alors… tous les deux ? souffle Julien. Ils bandent si ferme que je vois deux glands bien rouges sortir des slips de bain. — Dites-moi donc ce que vous me faisieztous les deux, en effet, après m’avoir capturée ? Julien avale péniblement sa salive. — Nous t’attachions entre quatre arbres, couchée sur le dos, bras et jambes en croix.— Eh bien, allons-y !— Vrai ? Tu veux bien ?— Allons-y, je vous dis ! Je m’allonge sur la mousse, bras et jambes écartés. Ils s’approchent. — Voilà. Faites de moi ce que vous voulez. Mes fesses, sûrement moins difformes que celles de Caroline, seront à la ...
... disposition de tes mains, du martinet ou de quelques orties, je suis consciente de le mériter. — Tu veux bien qu’on enlève le bas de ton bikini ?— Je n’ai pas le choix, puisque je suis votre prisonnière ! Je referme mes cuisses, soulève un peu mes fesses et me voilà totalement nue. J’écarte à nouveau les jambes. Nicolas se couche sur moi. Julien se débarrasse de son slip de bain et approche de ma bouche songladium raide comme la justice. À peine mes lèvres ont-elles effleuré le gland que la palpitation de ce dernier m’avertit qu’une giclée de sperme va me remplir la bouche. Je tourne la tête, et le jet puissant atteint ma joue et mon cou. Nicolas, lui, cherche tout simplement à me baiser. Je cesse de faire semblant d’être attachée, je le branle et après deux ou trois va-et-vient mon ventre et mes seins reçoivent de copieuses giclées de sperme. Voilà qui va nourrir les poissons. Je me lève et je vais dans l’eau. Petits spermatos, fécondez quelques poissons femelles, il en naîtra peut-être des sirènes. Revenant vers eux, j’entrevois une ombre dans les buissons ; ne serait-ce pas Quentin ? — On aurait bien voulu te faire vraiment l’amour, me dit Julien.— Dites-moi la vérité. Vous ne l’avez vraiment encore jamais fait ?— Jamais, on te le jure. Ils ne connaissent de l’amour, ou plutôt de la baise, que ce qu’ils ont vu sur Internet : on met tout de suite sa bite dans la bouche, le vagin ou le cul de la fille qui ne demande que ça apparemment. Il faut qu’ils apprennent les indispensables ...