En ton absence
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
copains,
forêt,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
jouet,
attache,
orties,
init,
lettre,
prememois,
... préliminaires. Je me mets à chantonner cette vieille chanson qui nous amuse tant :Aujourd’hui peut-être, ou plutôt demain… — Demain ? demande Nicolas.— Si vous faites marcher le distributeur de capotes de la pharmacie.— On le fera. On se retrouve donc ici demain après-midi ?— Oui. Nous retraversons la Loire. Quentin n’est pas sur la plage. C’était donc bien lui. Nous retrouvons serviettes de bain et vêtements dans la sacoche du scooter de Nicolas. Séchés, nous nous rhabillons. Les deux garçons se juchent sur leur scooter. Ils veulent m’attendre pour que nous fassions la route ensemble. Je leur dis de n’en rien faire, allant bien moins vite qu’eux. Ils s’en vont. Je rentre tout doucement. Quelques automobilistes mâles me regardent intensément. Je les ignore, bien que n’ayant pas joui, moi, comme tu le subodores. Le soir je lis Casanova. La fille qu’il voulait épouser vient d’être enfermée dans un couvent. Il est désespéré. Ça ne durera pas. Tombant amoureux d’une belle religieuse du même couvent, il écrit que cette infidélité ne déplairait pas à sa petite femme, « parce qu’elle n’est propre qu’à me maintenir en vie, et par conséquent à me conserver pour elle. » Bien vu, elle en est même ravie. Les deux filles sont tombées amoureuses l’une de l’autre tout en adorant Giacomo, bien entendu. Le cardinal de Bernis, ambassadeur de France (pas encore cardinal à l’époque mais amant de la belle religieuse) assiste, caché, aux ébats de Giacomo et de leur commune maîtresse. Comme ce ...
... genre de voyeurisme t’est actuellement impossible, pour compenser je continue mon récit. Le livre refermé à minuit passé, le gode en bois d’olivier que tu as confectionné pour moi me sert de « gladium » et je m’endors. Il sort de moi durant la nuit, ce qui interrompt un rêve agréable, le gode étant devenu demi-bouteille de champagne. Tu joues trop avec ma chatte en y introduisant n’importe quoi. Ce matin, mes parents s’en vont de bonne heure. Je reste nue dans la maison. Quand il va être 10 heures, je passe ma robe bleue, avec rien dessous et je reste pieds nus. C’est une vielle robe que tu ne connais pas, courte, avec une fermeture éclair sur le devant. Quentin la connaît, lui. Il arrive, l’air farouche. Nous montons dans ma chambre. — Je suis furieux contre toi, Sophie. Je t’ai vue hier, avec ces deux types.— Et alors ?— Et alors j’ai bien failli ne pas venir.— Mais tu es venu. Si c’est pour me faire des reproches, tu peux partir.— Oh, je n’ai pas de reproches à te faire, tu es bien libre de… de te gaspiller comme ça. D’ailleurs, tu dois bien avoir quelqu’un à Paris.— J’ai. Pas toi, ici ?— Pas vraiment. Tu m’as oublié, hein ?— Mais non, Quentin, il m’arrive de penser à toi avec beaucoup de douceur et la nostalgie du vert paradis des amours enfantines… Tu as fait le voyeur, hier.— Je voulais savoir pourquoi tu traversais la Loire avec ces deux garçons.— Tu devais bien t’en douter, non ?— Je m’en doutais un peu.— Et qu’as-tu éprouvé en nous voyant faire ?— C’est bizarre, j’étais ...