1. La cave de l'interdit (3)


    Datte: 17/07/2017, Catégories: Hétéro

    ... poursuivis les bisous jusqu’à atteindre sa joue. Elle était dos à moi, et ma main tenait sa hanche. Je sentis monter en moi une excitation, tout cela semblait irréel. Une érection naquit dans mon bas ventre et touchait les fesses de Laurianne qui était en quelque sorte "ma cousine". Nos bouches s’agrippèrent, doucement dans des baisers tendres. Je caressai son ventre affectueusement. Puis elle se tourna plus vers moi, et ma main s’aventura jusqu’à sa poitrine. Du bout des doigts j’explorai ses tétons et malaxai ses seins. Après de longues minutes ainsi, ma main longea son plexus, pour arriver à son nombril puis se faufila sous son pantalon de pyjama et atteignit ses lèvres. Elle poussa un long râle. Je bloquai sa bouche avec la mienne, il ne fallait pas qu’elle réveille son frère. Mes doigts jouèrent avec son clitoris, effectuant de petits mouvements circulaires, puis j’effleurai sa cuisse pour ensuite revenir titiller son entrejambe. De son côté elle passa sa main dans mon caleçon et caressa mon sexe. Elle plaça ses doigts autour de ma colonne de chair et effectua un mouvement de haut en bas pour me branler. C’était exquis. Le fait de ne pas devoir faire de bruit, et surtout toucher la fille du copain de ma tante avait un goût d’interdit qui rendait le moment intense. Elle commençait à bien mouiller lorsque j’introduis un doigt à l’entrée de son entrejambe. J’avais peur qu’elle soit vierge et que cela lui fasse mal, mais à ma grande surprise mon doigt s’enfonça sans ...
    ... difficulté accompagné de bruits de satisfaction. Je plaçai ma main gauche sous sa nuque et fit la mitraillette avec ma main. Ma paume tapait sur sa chatte épilée, faisant un petit bruit humide, masqué par son souffle haletant. J’essayai de faire rentrer mon doigt le plus loin possible. Cela semblait lui plaire. J’arrêtai au bout d’un moment car j’avais mal au bras. Le duvet renfermait une chaleur insoutenable, il s’agissait d’un brasier que nos deux corps alimentaient. Elle s’écarta de moi et descendit au fond du duvet, déposant des baisers sur mon ventre puis arriva face à mon pénis. J’avais le souffle coupé. Je sentis ses petits baisers délicats sur ma tige, puis sa langue partit de haut en bas. Et finalement elle ouvrit sa bouche, je sentais son souffle chaud sur mon gland. Elle engloutit ma bite et se mit à me sucer. C’était si chaud, si agréable. Une de ces mains me massait les couilles. Ce n’était pas sa première fois, c’était sûr malgré des gestes un peu maladroits. J’adorais être dans sa bouche, mais j’avais un autre plan en tête. Je l’attrapai et l’amenai à mon niveau. Je voulais la pénétrer. Je la plaçai sur le dos, mais avec le duvet c’était un peu compliqué. Je la mis donc sur le côté, dos à moi, et je me collais à elle en cuillère. J’amenais mon pénis à l’entrée de son vagin humide, elle leva sa jambe et me guida. Et d’un coup je rentrai. Une merveille. Elle était très serrée, et mon avancée dans sa chatte semblait être une découverte totale des lieux. Je faisais des ...