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La cave de l'interdit (3)
Datte: 17/07/2017, Catégories: Hétéro
... mouvements de bassin très doux et souple. Elle posa sa main derrière ma tête et me souffla: -J’ai envie de gémir. Je continuai à la pénétrer, puis j’accélérai le mouvement. C’était si bon. Dans cette cave, dans ce duvet brulait un feu indomptable. J’essayais de taper de plus en plus fort sans faire non plus trop de bruit. Je sentais mon aine taper ses fesses bien rebondies. Je devenais un animal et attrapai l’un de ses seins tout en maintenant les coups de pistons. Elle tourna sa tête et m’embrassa goulument. Puis elle se recula et retira le duvet en se mettant à 4 pattes. Tout à coup la chaleur partit, je me mis derrière elle et la pénétrai de nouveau. Sans le duvet j’avais l’impression d’avoir plus de sensation. Je continuais de la culbuter, mais cette fois-ci nous étions encore plus à la merci de son frère si ce dernier se réveillait. Lui ne devait pas se douter que sa grande sœur se faisait sauter à un mètre de lui. J’attrapai les fesses onctueuses de Laurianne et les écartais pour pouvoir la pénétrer plus profondément. Elle enfonça sa tête dans l’oreiller pour pouvoir geindre en faisant moins de bruit. Je caressais ses seins tandis que mon gland s’enfonçait dans cette chatte humide et gluante qui se desserrait. gjdgssn Maintenant qu’il n’y avait plus de duvet, je la retournais sur le dos et la pénétrais ...
... en étant sur elle. Nos deux corps se complétaient, je faisais de petits allers-retours à l’entrée de son vagin sans vraiment rentré puis en l’enlaçant je donnai un grand coup qui la fit trembler. Son corps était à moi à ce moment-là, sentir ses seins compressés contre ma poitrine m’excitait à un point inimaginable. Ses ongles griffaient mon dos, je l’embrassais avec passion tandis que je m’enfonçais en elle. Soudain je sentais que j’allais venir, je lui murmurai pour la prévenir, elle me rétorqua : -Viens en moi Jéremy Il ne fallait pas me le dire deux fois, j’accélérai le rythme, mes bras amenaient son corps sur moi. Je sentais le plaisir grandir dans ma queue, puis il éclata, plusieurs fois. Avec toute cette excitation j’éjaculais abondamment en elle et l’embrassai tendrement. Nos corps étaient chauds et en sueurs. Après une douce étreinte, elle me dit: -Il vaudrait mieux que tu retournes à ton matelas, avec ton duvet, si mon père apprend ça nous aurons des problèmes tous les deux. J’acquiesçai et rejoignis ma place, un peu frustré de ne pas pouvoir finir ma nuit avec elle, mais j’étais heureux de ce qu’il venait de se passer. Je m’endormis assez vite et lorsque mes yeux s’ouvrirent j’aperçus mon cousin Cyril qui était venu me réveiller: -Jérem, viens le père noël est passé. Et comment qu’il était passé...