Vive les rtt
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
ffh,
fplusag,
couleurs,
grossexe,
Oral
ecriv_f,
... monter au fond de mon ventre une boule chaude. Elle jouit une première fois ; son ventre se contracte violemment. Elle n’est plus qu’une sauvage en rut, en train de se faire monter ; son corps tressaute de plaisir sous les doigts et le regard de Teddy. Devant ce spectacle, je me caresse. Mon sexe dégouline. Il continue de la besogner, et elle explose à nouveau en pleurant. Françoise place ses jambes sur les épaules de Teddy pour mieux le sentir en elle. — Baise-moi fort ! Ta bite qui cogne au fond de ma chatte me rend folle ! Sa respiration devient haletante. Le pénis accélère encore son mouvement. Maintenant, elle pousse un cri à chaque pénétration. — Tu me sens bien ?— Oh oui ! Bien à fond ! Encore plus fort ! Il la pilonne avec une vigueur inouïe. Ses testicules heurtent ses lèvres avec un clapotement indécent. Les cris se font aigus. Son pénis doit cogner contre son utérus… Je sais que ce plaisir est presque douloureux ! Ses petits seins menus tanguent. Teddy jouit à son tour ; le vagin se contracte sur sa longue tige de chair. Le flot de sperme qui se répand en elle lui déclenche un dernier orgasme, encore plus violent que les précédents ; son abdomen se contracte… Ils finissent de jouir tous les deux bruyamment. À cet instant, je me sens spoliée, délaissée. Teddy reprend ses esprits, allongé sur le lit. Je viens m’empaler sur lui. Je suis tellement trempée que mon vagin avale son sexe alangui. Tout en souriant, je le chevauche, les mains appuyées sur son buste musclé ...
... avant de l’embrasser à pleine bouche. Ses belles mains sombres se posent sur mes fesses. Mes seins viennent s’appliquer contre son poitrail. Ses paroles me reviennent à l’esprit : « Moi, j’aime la caresse de tes seins contre ma peau pendant que tu me fais l’amour ! » C’est le moment de frotter mes seins lumineux sur sa peau sombre. Je me redresse ; il se met à butiner mes mamelons, les pétrissant de la pointe de sa langue, et enfouit avec délice son visage dans ma poitrine généreuse sans cesser de me caresser le dos, descendant vers mes reins, s’attardant sur ma croupe… Alors, tout en souriant à Françoise, je débute ce mouvement qu’il affectionne tant. Mes seins caressent son buste ; leurs pointes glissent sur sa peau sombre. A ce régime, son sexe ne tarde à reprendre de la vigueur : il s’allonge, enfle ! Je me laisse envahir un peu plus à chaque coup de reins ; puis arrive l’instant tant attendu où le pieu d’ébène se fraye un chemin là où lui seul peut aller. C’est divin ! Mon fourreau s’ouvre pour l’accueillir entièrement. Je dévisage Françoise, triomphante, avec une lueur canaille en finissant de m’empaler sur cette colonne de chair. Le miroir de l’armoire me renvoie mon image. C’est moi qui donne le tempo, le chevauchant, une main posée sur la barre de chair qui coulisse en moi, l’autre s’appuyant sur son poitrail musclé. Ses belles mains sombres se posent sur mes reins, accompagnant le mouvement de mon bassin. Puis, plaçant mes bras derrière ma tête, je me vois faire ...