Le banquier
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
occasion,
... profiter pour lui parler de nos projets immobiliers. » En attendant, une douche rapide et la voilà qui enfilait déjà un pull léger et une jupe par-dessus un ensemble en dentelle blanche. Une paire de Dim-up couleur poivre habilla ses jambes. Hop, je me glissai vite dans son sac et nous voilà partis, direction les soldes ! Marianne avait un peu plus de deux heures de libres devant elle et pas vraiment d’idées précises sur ses futurs achats. Elle fit donc le tour de ses enseignes préférées. Nous flânâmes ainsi dans les allées du centre commercial passant d’une boutique à l’autre, nous laissant aller à quelques coups de cœur par-ci, par-là… Et c’est ainsi que je la vis s’offrir quelques petites robes pour l’été, un ensemble tailleur/pantalon et deux ou trois ensembles de lingeries. Dont un bustier en dentelle ivoire qui, au premier abord, semblait très sage, mais qui, en plus de ses multiples agrafes au dos, pouvait se délacer entièrement sur le devant et son shorty tout en transparence assorti. Chacun de ses passages dans les salons d’essayage lui offrait l’occasion de se dévêtir et réveillait en elle cette petite excitation matinale. Je le devinais en voyant le plaisir qu’elle avait à prendre soin de bien ajuster les bonnets des soutiens-gorge qu’elle passait, soulevant à pleines mains ses deux généreux lobes, repoussant parfois de l’index, un téton qui se refusait à rester en place dans son écrin de dentelle. Elle prenait du plaisir en se mirant devant les multiples glaces ...
... dont sont pourvues les cabines, le rideau très légèrement entrouvert… C’est donc les bras chargés de paquets que Marianne se présenta à la succursale de sa banque. Celle-ci venait juste d’être réaménagée et Marianne découvrait pour la première fois les nouveaux locaux. Nous passâmes le sas de sécurité et découvrîmes ce que maintenant on appelait un « open space ». À notre droite, plusieurs automates permettaient aux clients d’effectuer eux-mêmes la plupart des opérations courantes. Devant nous, un grand comptoir où se tenait une hôtesse d’accueil. Derrière elle, en arc de cercle, quatre bureaux où les conseillers recevaient leurs clients pour des rendez-vous plus confidentiels. Marianne se dirigea vers l’hôtesse d’accueil : — Bonjour, mademoiselle Marianne, j’ai rendez-vous avec monsieur Pic Aillon.— Bonjour, mademoiselle… Oui, c’est exact, répondit celle-ci en consultant l’agenda disposé devant elle, je vais le prévenir de votre arrivée. L’hôtesse s’éclipsa un instant et lorsqu’elle revint, elle informa Marianne que monsieur Pic Aillon avait un peu de retard et qu’il allait la recevoir dans un instant. En attendant, l’hôtesse proposa à Marianne de patienter dans le bureau où elle allait être reçue. Ce contretemps nous laissa le loisir de détailler les nouveaux locaux. Les bureaux étaient entièrement vitrés, opaques dans leurs moitiés inférieures, fumés dans leurs moitiés supérieures. Des stores vénitiens pouvaient permettre plus de confidentialité. Au sol, une épaisse moquette ...