6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation - Histoires de Sexe

6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation

... d’artifice ; tremblements convulsifs, frissonnements vifs et spasmes épuisants. A-t-elle joui le plus sous ma langue ou sous la vile perforation de ses entrailles ? Ou des deux à la fois ? Je ne le saurai jamais puisque je n’oserai jamais poser la question. Affalée dans le canapé, toujours en cuissardes, sa robe largement béante laissant s’échapper deux beaux seins à notre vue, Cécile récupère petit à petit. Comme elle a les jambes largement écartées et une absence évidente de petite culotte, installé sur le fauteuil d’en face, je profite allègrement de la vue qu’elle m’offre. Son petit triangle noir m’amuse et me fascine ; il faut savoir l’entretenir. Ce petit manège n’échappe pas à son mari qui me glisse : — Je vois que Monsieur sait choisir son panorama !— Toujours savoir profiter des bonnes choses, non ?— Tu apprends vite !— Je n’ai eu besoin de t’attendre pour le savoir, Fab’. Rappelle-toi au lycée : tu n’étais pas en reste pour laisser tomber ta fourchette, au self !— Ah oui, tu t’en souviens ? À l’époque, c’était la mode des minijupes et ça avait diablement du bon ! Et les étés étaient chauds… Comme nous tous.— Sans parler des petits chemisiers, souvent blancs. Cécile se mêle à la conversation : — Je vois que ces messieurs ont un rude passé de pervers !— Nous étions ados.— Vous êtes restés des ados… Fabrice fond littéralement sur elle : — Bien sûr que je suis un gros ado attardé quand je sais que tu es ma femme à moi !— Gros, c’est sûr que tu as pris quelques kilos ...

... depuis. Attardé, aussi ; mais ado, regarde-toi dans la glace, mon chéri…— Je vais te faire ravaler tes paroles, langue de vipère ! Ils font semblant de se battre. Mais on devine aisément qu’il s’agit d’un jeu. Fabrice en profite pour peloter éhontément sa femme, qui ne se prive pas pour lui retourner la pareille. Avec ce jeu de mains baladeuses, tous deux sont en équilibre précaire. — Attends un peu, méchante sorcière !— Moi, méchante ? Moi qui te passe tous tes caprices ? Soudain, chutant en arrière, Fabrice entraîne Cécile avec lui. Elle pousse un petit cri de surprise. Il se couche sur le dos tout en l’enlaçant fermement tandis qu’elle se vautre sur lui de toute sa longueur, présentant à ma vue son mignon cul aux fesses accueillantes. J’apprécie énormément ces courbes offertes à mon regard. Me penchant un peu plus, je constate certaines traces luisantes bordant sa rondelle sombre ainsi que l’arrondi des fesses. Je me souviens de ce qui s’est passé tout à l’heure. Je m’égare momentanément dans mes souvenirs… Puis je reviens sur terre, avec sous mon nez et sous mes mains un splendide popotin qui n’attend que moi ! Tandis que je capture son beau cul que j’écarte pour mieux l’admirer, un peu de sperme s’évade de son sombre tunnel. Ça me procure un singulier frisson. Une envie irrésistible s’empare de moi : moi aussi, je veux plonger de la sorte en elle afin de la remplir ! La température augmente singulièrement ; j’ai une envie folle de posséder cette femme de toutes les façons ...