1. 6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fhh, extraoffre, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h,

    ... possibles et imaginables, sans parler de celles qui seraient acrobatiques ou risquées pour ma physionomie ! Je constate avec une certaine stupéfaction que la convoitise la plus sauvage et primaire cohabite très bien avec l’inclination la plus pure. Oui, j’adorerais jouer le preux chevalier défenseur de ma Dame adorée et vénérée, mais en même temps j’ai la volonté folle de l’accaparer pour moi seul, qu’elle soit ma chose, l’unique objet de ma concupiscence débridée ! J’aimerais réaliser tous les fantasmes avec elle ; tous, les uns après les autres, sans en oublier aucun. Adorables, gracieux ou sales, peu import : lumière ou ténèbres, je prends du moment que je la prenne, elle ! Toujours allongée sur Fabrice, Cécile ploie sous notre double assaut : moi qui me plaque contre ses fesses, son dos, elle écrasant ses seins sur un autre torse, deux hommes aux bites dures qui cherchent chacune leur chemin. Elle ondule contre nos deux corps robustes, minaudant, comme fragile face à notre double désir d’elle. — Tu aimes ça, petite pute ! Hein ?— Oui, j’aime ça !— Redis-le encore.— Oui, j’aime ça. J’aime ça !— Tu aimes quoi, petite pute ?— Oui, j’aime vos bites, je les veux en moi !— Redis-le encore, belle salope…— Oui, je veux vos grosses bites ; défoncez-moi. Défoncez-moi ! Synchronisés, excités, nous trouvons chacun de notre côté l’accès étroit qui nous permet d’aller plus loin encore dans la possession de ce magnifique corps qui nous est offert. Pour ma part, c’est avec une ...
    ... délectation sans nom que je fraie ma voie entre ces fesses toutes rondes et douces. Juste un petit ajustement du bout des doigts pour bien pointer l’entrée convoitée puis, sans vergogne je pousse mon avantage tandis de Fabrice en fait de même par-devant. Qu’il est étrange pour moi de sentir à travers une mince paroi une autre queue que la mienne dans ce corps que j’adore et que je possède ! Fébrile, je commence à pistonner cette femme que je convoite tant, à lui faire sentir ma présence, ma force, ma virilité. Avec un immense plaisir, je constate que – aidée par un certain lubrifiant naturel déjà présent – ma tige s’enfonce petit à petit dans ses profondeurs obscures et étroites. Puis vient le moment excitant de mes couilles qui viennent s’aplatir contre son cul écartelé, ce plaisir ultime d’être au fond des choses, d’y être complètement calé, de tout posséder ! De son côté, Fabrice n’est pas en reste pour tenter, lui-aussi, de s’enfoncer au plus lointain dans la caverne humide et chaude de sa femme ; il le fait avec maintes puissantes secousses, grognant bruyamment tandis qu’il assène d’offensifs coups de reins. Sous notre double agression, Cécile gémit, se tord, refuse, réclame ! — Non ! Ah… oui… oh oui…— Prends-ça, et ça !— Ah ! Ah ! Oooh ! Oui ! Ouiii ! Cécile est totalement défoncée, écartelée, élargie, ouverte à fond à ces queues qui plongent férocement en elle, cette double queue qui la prend sans vergogne, devant comme derrière, puis qui jouit de tout son saoul à la fois dans ...
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