NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Anal
Humour,
... Que c’était bon ! Que c’était merveilleux ! Qu’elle adorait jouir et décharger ! Que mon zob était divin ! Et elle arrêta de crier pour pousser un long râle et décharger violemment. Je continuai à aller et venir en elle pour la faire jouir encore une fois et jouir moi-même. Je retins l’arrivée de ma jouissance autant que je pus, pour l’emmener vers un autre orgasme. Le second orgasme vint très vite en même temps que je me vidais en elle. La jouissance que j’eus avec elle, je peux la décrire encore maintenant, tellement elle était forte et violente. Elle venait des tréfonds de mon ventre et irradiait sur tout mon corps en vagues successives de plus en plus fortes. Je me sentais défaillir. Quand j’explosai en elle, j’eus une merveilleuse sensation de délivrance et de bien être. Tous mes muscles tendus à l’extrême se relâchèrent d’un coup et mon corps s’affala sur le sien. J’étais heureux, de ce bonheur béat qui fait qu’on ne ressent rien d’autre, bien longtemps après l’acte.Au bout d’un moment, je relevais la tête pour la regarder. A mon énorme surprise, elle pleurait doucement, silencieusement ! Je m’allongeai à côté d’elle et la pris dans mes bras tendrement.- J’ai fais quelque chose qui t’a blessée, lui dis-je, d’une voix un peu inquiète ?Elle essuya ses larmes avec ses mains, me fit un sourire un peu triste, me regarda longuement dans les yeux et me dit :- Au contraire ! C’est la première fois qu’un homme a de la douceur et de la tendresse pour moi ! Je croyais que tu ...
... étais comme tous les autres ! Que tu voulais me tirer comme tu tirerais une pute ! Je suis réellement surprise, heureusement surprise par ton comportement ! Pourtant je n’ai rien fait pour te dissuader que je n’étais rien qu’une salope, qui devait être traitée comme une salope ! Je voulais moi-même te traiter comme je traite d’habitude les hommes avec lesquels je couche, les tenir par leur queue et faire d’eux tout ce que je veux ! Toi tu es différent ! Tu sais traiter une femme sans lui faire sentir qu’elle est méprisable ; comme une vraie personne humaine. Je comprends pourquoi ma mère est tombée amoureuse de toi. Et je la plains fortement de t’avoir quitté pour mener une vie terne et sans couleurs avec son mari.Je n’ai pas voulu la dissuader que je n’étais en vérité qu’un salaud comme un autre. Que j’avais vraiment dans l’idée de la traiter comme une salope et que ce n’était qu’en cours d’action, qu’une forte intuition m’avait persuadé d’agir avec douceur et tendresse (en fait j’ai toujours agi selon de fortes intuitions qui m’ont très rarement trompé). Je me suis mis à lui caresser la nuque de manière à l’apaiser un peu plus. Elle se laissa aller contre moi, la tête posée sur mon épaule, goûtant le plaisir simple d’une caresse pleine de tendresse. Au bout d’un moment, je lui pris le visage entre mes mains, plongeai mon regard dans ses immenses yeux, lui fis un large sourire et lui dis :- Tu es merveilleuse !- Non ne dis pas cela ! Ce n’est pas vrai ! Je suis une salope ! ...