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NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL
Datte: 27/04/2018, Catégories: Anal Humour,
... gonfler encore plus mon sexe et de tirer de moi un petit gémissement de plaisir.Craignant de jouir sans plus tarder, je sortis mon gourdin tout plein de mouille et le dirigeai vers son anus qui attendait en palpitant. Je n’eus aucune difficulté à le faire pénétrer d’un seul coup dans son cul et à le faire aller et venir à l’intérieur. Le cul de ma belle n’était plus vierge depuis longtemps, mais tout comme son vagin, il avait gardé une très forte élasticité qui lui faisait serrer mon sexe, le menant à une félicité absolue. Il m’était difficile de résister à l’envie de jouir immédiatement dans ce cul. C’est pour cela que je donnais un rythme lent au mouvement d’allers-retours de mon gourdin. Elle aima cette sensation d’un engin qui se déplaçait doucement dans son cul et me le fit savoir en adoptant le même rythme avec ses hanches et en gémissant doucement, chaque fois que mes couilles venaient cogner sur ses fesses. Cela lui plaisait fortement. Elle balançait sa tête doucement dans tous les sens en bavant de plaisir. Elle ne parlait pas. Elle fermait les yeux et entra en elle, pour se mettre à l’écoute de ses sens et du plaisir qu’elle prenait.Et puis subitement je sortis de son cul pour retourner dans son vagin que j’entrepris d’occuper complètement en la tirant fort et en imprimant un mouvement circulaire à mon bassin. Après un très court moment de déception pour m’être retiré de son cul, elle eut une autre sensation de plaisir, différente de l’autre, mais toute aussi ...
... forte.- Tu vas me tuer de plaisir ! dit-elle, en commençant à gémir et à balancer sa tête dans tous les sens tout en laissant passer un filet de salive entre ses lèvres. C’est bon comme tu me baises, devant et derrière en même temps ! Je n’ai jamais rien senti d’aussi bon ! Continue à me tirer comme ça ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir !- Non ! lui dis-je, ne jouis pas tout de suite !Je ressortis de son vagin et allai immédiatement m’introduire dans son cul. Je refis la manœuvre quatre ou cinq fois, jusqu’à ce que je ne fusse plus capable de tenir. J’accélérai le rythme des allers-retours de mon membre dans son trou (je ne savais plus dans quel trou je me trouvais !) et très vite je la sentis se raidir sous mes coups de boutoir et éclater dans un long râle de mourante. Elle déchargea très longuement et plusieurs fois, remplissant le lit de jus épais.Moi-même j’explosai bruyamment, envoyant un énorme premier jet de sperme dans le trou dans lequel j’étais. Je sortis immédiatement du trou pour investir le deuxième dans lequel j’envoyais le reste du sperme que je continuais d’éjaculer. A bout de force, je m’affalais sur son dos et je restais ainsi jusqu’à ce que ma respiration ait repris son rythme normal. Nawal aussi était à bout de force. Elle étouffait littéralement sous mon poids. Je me levai et m’allongeai à côté d’elle, tout en restant collé à son dos. Mon sexe, n’avait plus la vigueur d’avant le coït mais était resté debout. Il alla se fourrer entre les fesses de ma ...