1. NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Anal Humour,

    ... m’intéresse pas. Ma relation avec ta maman a pris fin le jour de son mariage. Il n’y a donc aucune raison pour que tu me racontes, ce qui s’est passé, il y a si longtemps.Sans m’écouter, elle continua son histoire, semblant prendre un malin plaisir, à décrire les détails les plus scabreux et les plus croustillants.- Cela m’excitait beaucoup et je mouillais ma culotte en les écoutant. J’essayais même de me rapprocher pour tenter de les voir entrain de copuler comme des bêtes ; je n’y arrivais pas, la porte était toujours fermée. Je passai mon temps à me masturber et à jouir en imaginant tout ce qu’ils faisaient. Je rêvais d’être à la place de ma mère et de me faire enfiler par mon beau père. Je le trouvais beau et superbe ; un étalon qui était fait pour moi, pas pour elle. Et puis un matin, j’ai décidé de ne pas aller au lycée et de rester à la maison avec lui. Il ne travaillait plus et faisait tous les jours la grasse matinée. Maman partie à son travail, je rentrais dans la chambre à coucher, feignant de chercher quelque chose dans l’armoire. Je savais qu’il ne dormait pas et qu’il me regardait. Je n’avais rien sur moi, sinon un grand tee-shirt qui m’arrivait au dessus des genoux. Je savais qu’il laissait tout deviner de mon corps. Je savais qu’il me regardait et qu’il bandait et qu’il avait envie de me tirer. Il n’osait pas bouger ; il faisait toujours semblant de dormir. Je m’approchais du lit et je remarquais la tente que faisait son sexe dressé avec le drap. Je soulevais ...
    ... doucement le drap pour le contempler à mon aise.« Il n’y tint plus et me tira par le bras et me balança sur le lit. J’étais folle de joie ; j’allais connaître les mêmes sensations que celles que connaissait maman toutes les nuits. Il m’allongea brutalement sur le lit, déchira mon tee-shirt et se plaça entre mes jambes « tu en veux salope, et bien je vais t’en donner ! » ne cessait il de répéter. Il n’avait aucune douceur ; il avait envie de me défoncer la vulve, sans plus. J’étais contente ; j’attendais le moment de la pénétration avec impatience ! Je savais qu’il allait me faire mal, mais je m’en foutais totalement ! Je voulais jouir, comme maman ! Il me pénétra en force, faisant éclater mon pucelage, sans aucun ménagement ! Je criais de douleur, mais il n’en avait cure ! Il continuait son mouvement de démolition, sans s’arrêter ! Et puis petit à petit la douleur s’estompa, vaincue par le plaisir ! Je me mis à aimer ce qu’il me faisait ! Je m’agrippais à lui pour qu’il ne sorte pas de mon vagin ensanglanté ! Je voulais qu’il continue, qu’il me fasse crier comme il le faisait pour ma mère. Et effectivement, je criais comme une folle « fais-moi jouir ! Fais-moi jouir ! » Jusqu’à ce que j’éclate et que je me mette à décharger comme une folle. C’était merveilleux ! J’ai adoré me faire dépuceler comme cela, par une brute. »« Quand il eut fini, après avoir déversé une tonne de sperme dans mon vagin, il sortit son sexe tout rouge de sang et regarda le drap qui en était rempli. Il ...
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