1. Une parenthèse


    Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral aliments, nostalgie,

    ... avoir consulté l’horloge, j’étais certaine qu’on était dans le rouge… — Hey, attends, je me suis pas occupée de toi !— C’est pas grave ça, si tu savais le plaisir que j’ai pris moi aussi de te voir offerte là devant moi.— Non, je ne suis pas d’accord.— Oui, mais là, il est déjà un peu trop tard pour toi aussi non, tu n’as plus la tête à ça…— Ça peut revenir très vite, ces petites bêtes-là, non ? J’ai approché ma tête de son pantalon. Sa main s’est glissée dans mes cheveux, comme pour les emmêler un peu plus. J’ai pu défaire sa ceinture et commencer à le masturber à l’extérieur de son slip, avant de glisser mes doigts à travers l’élastique. Je ne peux pas dire qu’il était très en forme, même si son sexe avait des sursauts de présence. Je branlais son sexe d’une main, tandis que l’autre s’affairait sous ses couilles. Pendant, ce temps ma langue est sortie à la recherche de quelque chose sur quoi se poser. Elle est arrivée comme un dard sur son gland sur lequel perlait une petite goutte de rosée. Tout en prenant son sexe en bouche, j’entendais ses soupirs de satisfaction, ses râles de plaisir, ses yeux fermés. Je savais à quel point il appréciait les caresses que ma langue lui prodiguait. J’avais bien remarqué qu’il profitait pleinement des sensations qu’il éprouvait, mais je n’ai pas remarqué de tension particulière dans sa posture ou autre, juste sa main qui est venue se plaquer à l’arrière de ma tête m’incitant à gober davantage. Je pense que j’avais réussi à ...
    ... prendre le tout en bouche, car il me semble me rappeler que mon nez est entré en contact avec son corps. C’est quand j’ai senti cette substance chaude couler à l’intérieur de ma joue que j’ai compris ce qui venait de se produire. Aussitôt, j’ai pensé : « Non, merde pas ça ». Mon premier réflexe était de me retirer en me disant : « Bordel, dégueule pas. » Une fois la première impression passée, désagréable, il faut bien l’avouer, je me suis dit que ce n’était pas si immonde que je ne le pensais. J’en ai même ressenti une certaine satisfaction. Ça me faisait plaisir d’aller jusqu’au bout pour la première fois et contente que cette première fois se soit passée avec lui. Il s’est rhabillé et puis s’est assis sur une chaise de la pièce. Il est resté un moment la tête baissée entre ses mains. Le temps de me remettre de mes émotions, de faire un peu de toilette sur mon visage et de reprendre une tenue correcte, je me suis inquiétée. — Tu vas bien ?— Putain, comment tu veux que je travaille cette après-midi ?— Non, pas putain.— C’est pas de toi que je parle, mais là, je suis incapable de travailler. Toi, tu es ma petite garce… Et quelle garce ! De classe mondiale. Non, planétaire. Y a autre chose de plus grand ?— Sot ! Il s’est levé et m’a serrée tendrement dans ses bras. En parcourant les quelques mètres du couloir qui lui donnait accès à la porte d’entrée, il m’a montré la banane en me disant : « Je vais la faire encadrer celle-là ! » et il est parti aussi vite qu’il était venu… 
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