1. Le refuge


    Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, ffh, sauna, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... rotation. Nous reprenons notre chemin vers les Vignettes. Nous y arrivons en début de soirée bien fatigués par cette double étape. Le Pine d’Arrolla nous domine et nous décidons d’en faire l’ascension le lendemain, si le temps le permet. Comme prévu, le refuge est vide, pas de gardien, pas de randonneur. Nous nous installons dans la partie hiver, le temps, depuis la fin d’après-midi, est couvert et il se met à neiger à gros flocons. Bien à l’abri, nous regardons tomber la neige. Un dîner rapide avec les provisions que nous avons emmenées et nous dormons du sommeil du juste, le poêle ronflant à nos pieds. Le lendemain matin, oh surprise, la petite perturbation annoncée par la météo a déposé un mètre cinquante de neige fraîche sur le glacier. Nous renonçons à l’ascension du Pine, la suite de notre randonnée est même compromise pour quelques heures, le temps que la neige se tasse un peu. Nous voilà isolés aux Vignettes. J’aménage un peu notre logement en traçant dans la neige pour remettre en eau le captage et dégager en partie la terrasse. La neige de l’hiver et la poudre fraîche que je tasse me permettent de sculpter un grand transat deux places sur lequel j’étend des peaux qui servent normalement de couverture. Voilà de quoi prendre des bains de soleil, qui est enfin revenu vers midi. Le poêle qui entretient une douce chaleur à l’intérieur et le soleil qui inonde la terrasse nous permettent de circuler avec juste un t-shirt. Beatrix a décidé de faire un brin de toilette ...
    ... ! Je l’accompagne pour profiter de spectacle. La voilà torse nu devant le bac, l’eau frôle les cinq degrés et je vois son corps rosir instantanément sous le jet glacé. Ses mamelons se recroquevillent, ses seins tressautent alors qu’elle halète, la respiration coupée par le froid. Elle abandonne son pantalon et plonge toute entière dans le bac pour en ressortir aussitôt et se jeter dans la serviette que je lui tends. Je la réchauffe en la frictionnant et nous nous étendons sur le transat. Son corps fume au soleil et de friction ma main se fait caresse. Ses tétons roses se tendent soudain alors que je lui sèche les jambes. Ma bouche doucement les gobe, mes dents les mordillent, ma langue les titille. Les mains de Beatrix ont tôt fait d’ôter mon t-shirt et me caressent le torse. Son corps est maintenant très chaud et absorbe les rayons du soleil. Ma bouche remonte maintenant vers son cou, explore sa nuque. Je lui mordille l’oreille. Un de ses pieds remonte le long de mes jambes et caresse mon sexe à travers mon pantalon. Je sens celui-ci tendre la toile qui le sépare du corps de Beatrix. À l’aide d’un petit bloc de neige, je dessine sur son corps des arabesques froides qui la font frissonner. Je le dépose enfin entre ses cuisses pour le regarder fondre à la chaleur de son corps. Beatrix joue de la même façon, mais fait glisser un petit bloc de glace le long de mon dos jusqu’à la raie de mes fesses provoquant un mouvement incontrôlé de mon bassin contre le sien. Ses cuisses ...
«1234...7»