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Le refuge
Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, ffh, sauna, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,
... coup plus rien, la porte du sauna claque et je suis à nouveau seul. Je sors précipitamment et je découvre Beatrix à quatre pattes dans la neige. Mon désir est tel que je la prends par la taille et la pénètre immédiatement, mon bassin se rue à l’assaut de ses fesses. Elle se met à gémir et à crier à chaque cou de rein. Soudain, son corps se tend et je sens les spasmes de son vagin autour de ma verge, elle s’effondre à plat ventre dans la neige. Helena apparaît alors et s’allonge dans la neige sur une peau qu’elle est allée chercher, les cuisses largement ouvertes, le sexe luisant de désir. Je la pénètre aussi rapidement que Béatrix et les mouvements de mon bassin nous font glisser sur la pente de neige. Beatrix nous rejoint alors et se met à caresser les seins d’Helena. Je passe de l’une à l’autre, leur tirant des gémissements et des petits cris. Helena jouit enfin et Beatrix dans une dernière étreinte me fait jouir comme je n’ai jamais joui. Des spasmes m’agitent encore longtemps et les caresses de mes deux compagnes de jeux continuent de me donner du plaisir pendant de longues minutes. Nous rentrons enfin au refuge. Le froid ne nous a pas atteints tellement notre excitation était grande. Le dîner est sublime, nous restons nus à profiter du corps des autres en savourant le caviar avec du champagne frappé dans la neige. L’alcool et l’altitude nous grisent et nous finissons la nuit dans le même lit, nos mains doucement explorant le corps des autres dans de charmantes caresses. ...
... Le lendemain. Le temps et toujours aussi beau et nous partons tous les trois a l’assaut du Pine d’Arrola. Au sommet, Helena étend une toile pour un déjeuner à 3700 m d’altitude et, allongée à côté de Beatrix, elle expose ses seins au soleil. Leur vision a toujours le même effet sur moi et Beatrix rit me voyant gêné. Elle murmure à l’oreille d’Helena et me revoilà avec deux furies qui se jettent sur moi et ouvrent mon pantalon en un instant. Leur jeu à quatre mains reprend sur mon sexe jusqu’à ce que je me répande sur la neige. Je reste un instant groggy de l’intensité de la sensation. Puis nous reprenons notre déjeuner, mon pantalon un peu moins tendu ! Nous sommes de retour au refuge en milieu d’après-midi. Un groupe de randonneurs qui vient de la vallée arrive presque en même temps que nous. Ils sont quatre et semblent déçus de nous trouver. Peut être espéraient-ils l’intimité dont nous avons joui depuis deux jours. Dommage ! Ils s’installent dans la partie été, alors que nous restons dans la partie hiver où Helena vient nous rejoindre pour la nuit. Ce ménage à trois improvisé nous surprend car il nous apparaît comme naturel depuis notre rencontre au refuge il y a trois jours. Helena nous avoue ne jamais avoir eu un tel comportement avec des clients, mais le fait de nous voir nous caresser alors que le gardien lui donnait du plaisir lui a donné envie de nous découvrir. Et elle a donc accéléré la rotation pour nous retrouver au refuge. À son arrivée, la trace que nos corps ...