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Amélie-Garance
Datte: 29/04/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou
... encore pour l’étouffer. La capturer. La tuer là. Tout de suite. Mes mains redescendent, quittent le tee-shirt et glissent entre le haut du pantalon et le tissu de la culotte. Je tire, j’arrache. Je pousse Garance du bas-ventre pour la faire s’allonger encore plus à plat sur la table. La bouteille de whisky s’arrête au bord du gouffre. Je l’att****, je dévisse le bouchon et je libère la bouche de ma sœur. On boit. De larges lampées. Et la bouteille tombe sans se casser. Garance occupe toute la table et je me hisse sur elle. À califourchon sur ce corps brûlant. Mes mains passent entre le tissu de la culotte et ses fesses. Je cherche la ligne creuse qui sépare ses deux petites vallées de chair. Mes doigts frétillent. Mes doigts collent, accrochent et avancent encore. Mes doigts visitent doucement et légèrement un petit puits étrange. Et mes mains changent de côté pour travailler ma sœur de face. Ses poils durs. Ses poils mouillés. Un flot d’envie me fait glisser en elle sans un effort. Elle m’engloutit passivement. Mon index et mon majeur s’en vont. C’est étrange le chemin qu’ils parcourent. C’est étroit et soudain totalement offert. C’est doux et liquide. C’est dur et puis plus dur encore. Garance je veux te visiter. Les corps reprennent leurs souffles. Volent le souffle de l’autre tellement les bouches sont proches. Les yeux de Garance sont fermés lorsque j’ouvre les miens. Et ils apparaissent soudain, bleus, totalement bleus. Et nos langues s’emmêlent encore alors qu’ils ...
... sont toujours ouverts. On cherche une trace de plaisir dans l’autre, on cherche un peu de réalité dans un regard déjà lointain. Et on referme les paupières. Mes cuisses me brûlent, mélange de mauvaise posture et d’excitation à son paroxysme. Je veux jouir. Mais à une condition. Qu’elle me serre à se glisser en moi et que je puisse hurler son prénom pour qu’on m’entende jusqu’à la lune. Trop difficile à obtenir cette condition ! Alors je ne jouis pas. Je souffre en silence. Sa langue rend les armes et j’attaque son palais. Je voudrais me glisser dans sa gorge et descendre au plus profond de ses entrailles. La connaître de l’intérieur. Manger sa chair palpitante. Mes paupières se soulèvent sous le poids des larmes qui coulent. Ma pensée jouit des souvenirs de nos corps sous la couette de ma sœur. Je veux retrouver cette chaleur avant de laisser mon corps mourir. Je soulève ce corps de jeune fille et chute à terre. Garance s’assoit au bord de la table. J’ai le cœur qui cavalcade à six cents à l’heure. Elle panique, tend ses mains vers mon visage. Je les prends et embrasse ses doigts.— Ça va ma puce, mais la table m’est inconfortable, lui dis-je.— T’avais qu’à te reposer sur moi. Je m’en foutais. Je veux encore !Et le téléphone sonne. Nos regards se croisent. Je lâche ses mains. Je marche jusqu’au fauteuil du salon. Il est posé là. « Maison Paris ».Voilà que le vaisseau-mère s’inquiète du vaisseau-deux filles en manque. Je décroche le souffle court. Bonjour maman ! Ça va ? Oui ? Le ...