1. Amélie-Garance


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... saladier. Boules rouges, queues vertes. Elle s’amuse, se délecte de cette phrase. Dans un élan sublime, elle porte un fruit à sa bouche. Ses incisives fendent l’aliment qui répand son mortel venin sur les collines roses pentues que forment ses lèvres. Ses doigts (index et pouce) se mêlent au jeu dans un délicat mélange de lèvres, de dents, de jus de cerise, de bouillie de fruit et de doigts humides. Mon ventre explose. Une ligne de tir en profondeur qui partirait du pubis pour remonter au nombril.— Tu m’excites.La phrase claque dans l’air. Les doigts de Garance s’en allant larguer une cerise en bouche suspendent leur vol. Battement de cils. Halètements. Ils reprennent leur voyage et la cerise tombe. Parole humide :— Toi aussi. Depuis la piscine.Ma chaise crisse sur le carrelage quand je la recule. Indochine se tait. Le Cd est fini. J’enchaîne :— Lève-toi !Elle met pied à terre et se dresse entre la chaise et la table. J’attaque. Elle se retourne pour poser ses fesses sur l’extrême bord de la table. Je plane. Je saute. Mes mains saisissent ses flancs. Là où le tee-shirt s’arrête. Mes doigts électrisent sa peau. Ma poitrine se colle contre la sienne. Elle sent le chlore, le parfum, la cerise, la sueur et d’autres choses plus dramatiques encore. Elle sent l’envie, l’extase, le désir brûlant. Sa peau est braises portées au blanc. Nos poitrines s’unissent. Nos visages se font face. Et je la pousse. Ses fesses glissent vers l’arrière et elle tombe à demi plat dos sur la table. Les ...
    ... assiettes s’entrechoquent, les verres chutent. Mes cuisses entourent ses cuisses, j’abats mon bas-ventre contre le sien. Garance sous Amélie. Position du Kama-Sutra. Je pèse de tout mon poids pour la renverser définitivement contre la table. Elle s’affaisse à plat dos sur le bois. Ses pieds quittent le sol. Je m’allonge comme je peux sur sa poitrine. Mes mains lâchent ses flancs. Je pose mes paumes sur le plat de la table et glisse en avant. Le saladier vide chute et se brise. Celui qui contient les cerises chavire et elles se répandent sous mes doigts. Tout ceci en l’espace de quatre secondes sublimes. Mes lèvres se collent à celles qui mangeaient si sensuellement. Je retrouve leur goût, leur putain de chaleur. C’est atroce. Je mordille. J’agonise. Cerise et salive. Je me régale, je m’abreuve, je m’enivre. Une épée ou plutôt un sabre laser avec les batteries chargées à bloc s’enfonce dans ma chair. Garance m’embrasse. J’embrasse Garance. Nos lèvres se serrent, se refusent et se donnent, s’abandonnent et fusent les unes vers les autres. Nos langues fourmillent. Je la visite, je la travaille, je la fourbis, je l’astique, je la racle. Trois mois. Et ce souvenir si lointain d’un baiser. Mes mains se glissent sous le tee-shirt. Sa poitrine est nue en dessous. Mes doigts agrippent, malaxent, travaillent, creusent, caressent, anéantissent. J’excite ses tétons durcis, je pince, je vrille, je blesse. Elle frétille sous moi. Et j’appuie de tout mon être. Je voudrais peser plus lourd ...
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