1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (21)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Trash,

    La séance dura longtemps. Martinet, cravache, paddle, canne anglaise, jonc, Lenoir lui fit tester tous ses instruments sans exception. Régulièrement, il arrêtait de frapper pour vérifier l’état de Sandrine. Lorsqu’il plongeait ses doigts en elle, il constatait une humidité grandissante qui le ravissait : elle prouvait que la petite blonde prenait du plaisir à se soumettre. Quand il arrêta de frapper, la peau de la femme n’était plus qu’un entrelacs de marques violacées qui se croisaient de ses mollets jusqu’à ses épaules ; seuls ses bras et son visage étaient épargnés. Malgré son corps supplicié et sans force pendant crucifié aux chaînes, Sandrine trouva la force de sourire à son maître. Son visage couvert de sueur aux yeux rougis et larmoyants s’éclaira quand Lenoir approcha avec un verre d’eau et la fit boire à petites gorgées. Il la détacha ensuite, la soutenant car il savait que les jambes tremblantes de Sandrine ne pourraient la supporter. Il la prit dans ses bras et monta l’escalier avec la femme blottie contre lui. Elle avait noué ses bras autour de son cou et s’abandonnait à lui, complètement, comprit-il. Elle lui faisait entièrement confiance, et il était hors de question qu’il la déçoive. Il entra dans sa chambre en biais pour protéger les pieds de son petit fardeau. Ému par la légèreté de cet oisillon abandonné dans ses bras, il sourit. Celle-là, il n’allait pas la laisser partir, elle était à lui, comme il était à elle, déjà. Il déposa tendrement Sandrine sur le ...
    ... lit puis alla faire couler l’eau dans la baignoire ; pendant qu’elle se remplissait, il revint dans la chambre avec un flacon de Dakin et des compresses. On pense souvent que le sang ne coule jamais dans les séances SM, mais c’est faux. Il faut simplement prendre soin du soumis qui a accepté de souffrir pour son maître. Sandrine était plongée dans un brouillard miséricordieux, ses yeux voilés de souffrance et de béatitude. Elle sentit qu’on la soulevait à nouveau, qu’on la faisait glisser délicatement dans un bain moussant à la tiédeur émolliente. Il n’était pas encore 18 heures mais elle s’endormit dans la baignoire, sous la surveillance d’Arnaud Lenoir. Un peu plus tard, il la sortit de l’eau qui refroidissait et la sécha avant de l’oindre d’un baume apaisant miracle et de la glisser dans le lit. Puis il se blottit contre elle, sa queue congestionnée et douloureuse se nichant contre les fesses de sa soumise. Sans un mot, elle glissa la main derrière elle, guida la verge roide au centre de son intimité et l’engloutit sans coup férir. Le sexe de Sandrine était serré mais trempé, plus que prêt à recevoir son imposant calibre. Ils ne bougèrent pas, sentant monter la jouissance ainsi. Le vagin se transformait en fournaise autour de la verge palpitante qui gonflait et pulsait sur un tempo d’urgence. Quand il se vida enfin, Lenoir ne put retenir un gémissement ; il était dérouté, ne comprenant pas comment il avait pu éjaculer ainsi, juste enfoui dans ce sexe si étroit et si brûlant ...
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