1. L'étudiante (4/5)


    Datte: 17/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... un profil immensément érotique. Je fis le tour à distance de ce corps dont je ressentais toute la fébrilité sous son aspect inerte. C’est par les yeux que, d’instinct, je m’emparais d’abord de lui. Osant enfin le toucher de nouveau, je fis glisser ma main en mouvements amples tout du long, effleurant à peine les proéminences que ses seins et ses fesses formaient en contraste les uns avec les autres pour accentuer l’érotisme de la pause. Ses mains à elles restaient inertes, les bras esquissant toutefois une croix sous les seins comme pour les protéger involontairement, alors qu’elle n’avait opposé aucune résistance quand j’avais dégrafé son corsage. Par je ne sais quelle caprice que seul le désir a dû m’inspirer, je mis d’abord la main sur sa fesse la plus proche que je palpai de la paume en exerçant une pression assez forte. Ma partenaire se contorsionna sous l’effet de ce geste et tourna de tout son corps du côté opposé au mien pour offrir à ma vue et à mes mains ses deux fesses rebondies, séparées par un large sillon qui, se rétrécissant fortement à la naissance des cuisses, donnait l’impression qu’on se trouvait devant les versants en forme de collines d’une vallée inversée. Je portai les deux mains sur ces fesses que je pétris en les massant vigoureusement. De la paume ouverte de l’une de mes mains, j’entrepris un voyage lent vers l’entrejambes de ma partenaire qui ouvrit les cuisses au fur et à mesure de ma progression. Elle était consentante. Au milieu de la gorge que ...
    ... formait cette vallée en contrebas des fesses, j’atteignis le cratère de son anus que je caressais furtivement dans ma progression vers le vagin. Ma partenaire se contracta instantanément. La moiteur de l’endroit était pareille à l’état que créerait la brume d’un soir d’été : chaleur et humidité accueillirent ma main qui se fraya un chenal vers la grotte inexplorée. Je l’atteignis sans effort, hormis l’étroitesse du chenal dont les parois offraient de toute façon un en-cas de plaisir à ma main du seul fait du frottement. Ma partenaire écarta parcimonieusement les jambes, sans doute pour ressentir le même plaisir que moi dans cette lente exploration qu’elle acceptait visiblement. Je forçais le passage en lui faisant écarter davantage les cuisses avec mon avant-bras. Je fis aller et venir ma main roulée en quenelle dans cet antre humide mais l’inconfort de ma position me fit renoncer provisoirement au plaisir de ces attouchements. M’accroupissant alors, j’eus à hauteur de ma figure les deux globes fessiers dans la raie desquels je plongeai littéralement mon visage. Le visage ainsi enfoui, je restai immobile de longues secondes en apnée, la bouche et le nez prisonniers de ces blocs de chair aussi frissonnante de désir que mon corps, pourtant soumis au supplice de l’indécision cérébrale, était tendu et chaud : jusqu’où pouvais-je aller ? Qu’est-elle disposée à m’offrir ? Ai-je le droit de lui prendre sa virginité que, j’en étais persuadé, elle avait jusque-là jalousement gardée ? ...