1. Ruelle, rue Beaubien


    Datte: 30/04/2018, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fist, jouet, jeu, Lesbienne

    ... fesses, je ne remarque même pas que la jeune femme est sortie des toilettes. — Tes fesses sont très bien, me dit-elle en riant.— Merci, tu m’as fait peur ! lui dis-je. Gênée, je fais mine de replacer mes cheveux pour ne pas la regarder en face. — J’ai besoin de ton aide, me répète-t-elle encore d’une voix peu assurée.— Oui, je suis ici pour ça. Je commence à être fatiguée et j’ai faim, j’ai hâte de rentrer à la maison, qu’elle me dise enfin ce qui ne va pas. La jeune femme se tait pourtant. Elle fouille dans son sac à main et en ressort en appareil photo. — Peux-tu me prendre en photo ? me dit-elle en balbutiant, C’est que, hum, j’ai besoin de preuves… Alors là, je suis estomaquée. Preuves de quoi ? Que son mari l’a battue ? Je ne vois pas ce que ça pourrait être d’autre… Je n’ose pas lui demander : « preuves de quoi ? » Elle me tend son appareil photo et se contente de me dire sur quel bouton appuyer. Je me mets en place pour prendre le cliché quand tout à coup je la vois remonter sa jupe longue. Elle ne remarque pas mon air ahuri, trop occupée qu’elle est à fixer le plancher. Soudain, elle passe à côté de moi pour s’asseoir sur le comptoir de la salle de bain. Les yeux toujours baissés, elle écarte les jambes tranquillement, ce qui trahit le fait qu’elle ne porte pas de culotte. Estomaquée, je ne peux m’empêcher de regarder son sexe, totalement imberbe, il luit de manière indécente sous la lumière crue de la salle de bain. Je suis totalement prise de court, je ne sais ...
    ... que dire ou que faire. Mon cœur bat la chamade et je sens mes mains devenir froides et moites. Prise de panique, mon bas-ventre se serre. Je ne peux pas croire que je me retrouve là, à fixer le sexe d’une femme dont je ne connais même pas le nom. Et pourtant je ne peux en détourner le regard. J’essaie de reprendre ma contenance en faisant comme si de rien n’était et je regarde l’appareil comme si je me préparais à prendre la photo. Je sens mon visage brûlant et j’ai des sueurs froides. Son sexe, toujours exposé, semble me narguer. D’une jolie couleur pêche, il semble crémeux, invitant. Je ne peux m’empêcher d’imaginer un pénis grand et gros qui s’enfoncerait dans ce sexe qui semble n’attendre que cela. Je regarde la jeune femme et son joli visage délicat ; son regard est vide, il semble fixer un quelconque point derrière moi. Elle parle soudainement. — Zoome bien, s’il te plaît, me dit-elle d’une voix tremblante.— D’accord, m’entends-je répondre d’une voix blanche. Je regarde l’appareil et trouve le zoom. Je m’approche même d’elle, les jambes tremblantes. Je commence à sentir son odeur légèrement épicée. Son clitoris est gorgé de sang, la mouille luit sur ses grandes lèvres et je peux percevoir une petite corde dépasser de l’entrée de son vagin. Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Un tampon ? Parmi toute cette mouille ? J’appuie finalement sur le détenteur et le bruit indiquant que la photo a bien été prise retentit dans la salle de bain qui, ma foi, me semble anormalement ...
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