1. La promenade


    Datte: 30/04/2018, Catégories: fh, jardin, parking, ecriv_f,

    ... Tout aussi doucement, elle redescend, savourant chaque millimètre de chair qui entre en elle, jusqu’à s’asseoir pour sentir ses couilles lui chatouiller les fesses. Il les prend à pleines mains, les écarte tandis qu’elle remonte, glisse le bout de ses doigts vers l’anus. Quand elle redescend encore, elle sent les couilles contre son trou du cul, et deux doigts y pénètrent légèrement. Elle mouille toujours autant et lui aussi est trempé, sa queue lubrifiée, les poils de son pubis collés par le jus. Elle ne pensait pas qu’elle pouvait être plus ouverte, mais elle sent encore une porte tomber, quelque chose se libère et l’épuise. Sa tête retombe vers sa poitrine et elle murmure : — Ça monte, oh ça monte. Maintenant, il accompagne le mouvement en soulevant les hanches, il vient à sa rencontre, il ne la sort presque plus du con de la fille. Ils baisent sans presque bouger, par une succion interne plus forte que tous les coups de boutoir, un plaisir intense que renforce le mélange de leurs odeurs : santal et musc, sueur et sécrétions du con, le cocktail aphrodisiaque que le sperme complétera parfaitement. Elle contracte son sexe autour de la bite de l’homme, elle la sent qui palpite en elle. Il lui caresse rudement les seins, puis écarte le tissu de la robe. Il se soulève vers elle et prend le sein dans sa bouche, suce le téton, le mordille, puis le lèche lentement. Il dit : — Il faut arrêter. Tu ne dois pas jouir. Pas encore. Il se retire d’elle. Elle se relève, les muscles des ...
    ... jambes douloureux et la chatte en feu et, le voyant assis sur le banc, la bite dressée et le visage mis à nu par le désir, elle veut s’agenouiller et le sucer ; elle ne veut rien d’autre que la prendre dans sa bouche, sentir dessus l’odeur de son propre sexe. D’abord le bout, puis le sortir comme un eskimo et le lécher en rond ; descendre le long de sa queue avec la langue pointée, mais légère, et remonter en léchant à pleine langue la veine gonflée. Puis la prendre complètement, la sucer jusqu’à fourrer son nez dans le buisson des poils. Il a le ventre plat et musclé, et le pubis bien délimité par des poils châtain foncé qui brillent du jus qu’elle a laissé. Elle esquisse le mouvement vers lui, mais il la redresse, fait tomber le string de la cheville où il était resté accroché. Il se lève et se rajuste, et ils sortent du square les genoux tremblants, intoxiqués par la crudité de leurs sensations et de leurs audaces, attendant la prochaine dose. Ils reprennent leurs esprits dans la brise de la marche. Les rues sont désertes et calmes. Il regarde les pieds de la fille dans ses sandales à talons hauts, il sort de sa poche le string roulé en boule et le porte à son visage. Elle le regarde respirer la soie noire encore mouillée, il lève les yeux vers elle et elle dit : — Je ne peux plus marcher, je pourrais jouir en mettant seulement une jambe devant l’autre. Ils poussent la porte d’un immeuble ; dans la cour, des voitures dans des boxes. Ils se dirigent vers le plus éloigné, et ...
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