Essayage incontrôlé
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
occasion,
... retrouvai sans pantalon, sans slip, la bite raide pointant vers le plafond, mais avec ma chemise. — Savez-vous que je vous trouve charmant dans cet accoutrement ridicule, tirez le haut aussi, j’aimerais vous contempler nu comme un ver, sans vêtement, à poil quoi, et là alors vous allez me faire le cadeau d’une branlette, comme si vous étiez tout seul.— J’aimerais aussi pouvoir apprécier la même chose chez vous.— On verra ça après, allez, à poil, mon cher et, branlez-vous ! Je me retrouvai en un tour de main complètement nu, devant cette femme habillée de sa mini robe et de son sourire moqueur, en me disant que j’allais lui en mettre plein la vue à cette petite mignonne. À chaque vêtement qui tombait, elle commentait d’une onomatopée d’appréciation… — Hummm… oh… Ah… J’empoignai la hampe noueuse de ma bite bandée, et commençai à la branler vigoureusement. J’avais le gland gonflé, comme s’il devait éclater dans la seconde qui suivait. Pendant cette exhibition, je m’aperçus que, loin de suivre avec intérêt la branlette que j’exhibais, elle s’en désintéressait pour suivre l’évolution de mes sensations dans mon regard. Elle se mit alors à crisper ses mains jointes entre ses cuisses, et je voyais ses muscles se serrer sur ses doigts. Je ...
... ressentis aussitôt une onde violente contracter mon ventre. — Je ne peux plus me retenir ! Je vais jouir !— Laisse-toi partir, je veux voir, je veux te voir, vas-y ! Mon ventre tout entier se tendit dans une ultime crispation et un long jet de foutre jaillit de ma bite brûlante pour arroser ses cuisses. — Excuse-moi, je n’ai pas pu me retenir, je suis désolé. Elle aussi jouissait, presque sans bouger, en regardant les traînées de sperme, qui maculaient ses cuisses et sa robe retroussée. Alors que je ne savais plus quelle contenance prendre, elle ôta sa robe, et l’espace d’un instant, je la vis toute nue prendre ses vêtements un à un et se rhabiller sagement sans dire un mot. — Je n’avais encore jamais vu un homme se branler devant moi, dit-elle, j’ai aimé, j’ai vraiment aimé. Je vais être en retard, il faut que je parte.— Tu reviendras ?— Un jour qui sait ?— Dis-moi au moins ton prénom.— Ouvrez-moi la porte, voulez-vous ? Tout con, à poil, la bite molle, je lui donnai la clef. — Ouvrez vous-même, ma tenue est un peu légère. Quelques semaines se sont passées depuis, et j’attends tous les jours avec impatience, avant la fermeture, qu’elle ouvre la porte pour une merveilleuse fête charnelle comme celle que nous avons vécue. Peut-être que…