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NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL
Datte: 01/05/2018, Catégories: Humour, Anal Inceste / Tabou
... eut un petit cri de satisfaction et m’attrapa les hanches pour m’obliger à aller plus au fond. Malgré tous les sexes qu’il avait accueillis, qui l’avaient frotté et limé vigoureusement et certainement beaucoup élargi, son vagin avait gardé toute son élasticité. Il serrait fortement mon membre, donnant une très agréable impression d’étroitesse. C’était divin ! Il était chaud, visqueux et d’une telle douceur ! J’en bavais de plaisir ! Et je gémissais doucement à chacune de mes pénétrations ! Je goûtais chaque seconde, comme si c’était la dernière qui me restait à vivre ! Contrairement à ce que je voulais lui faire auparavant, la tirer en force comme une brute, c’était en douceur que je la baisais. J’y prenais un plaisir fou. Surtout qu’elle aussi semblait aimer la manière dont je la traitais. Elle s’était préparée à une pénétration en force, à une charge de taureau ou de bélier. Elle eut droit, bien involontairement il faut le dire, à un coït tout en douceur. Elle gémissait doucement, bavant elle aussi de plaisir, faisant faire à ses hanches de lents mouvements verticaux en accompagnement de mes lents coups de reins. Nous sentions le plaisir monter doucement en nous, au rythme des va-et-vient de mon sexe.Elle ne parlait pas. Elle avait fermé les yeux pour mieux goûter le plaisir qu’elle prenait. Elle avait la bouche ouverte et dégoulinante de salive. Et elle gémissait sans bruit, comme si elle avait peur d’arrêter l’instant magique qu’elle vivait, en disant quelque chose ou ...
... en criant. Elle jouissait intérieurement ; presque intellectuellement. Je voulais faire durer ce moment toute une éternité, tellement c’était merveilleux. Le plaisir allait crescendo, mais à un rythme lent. Mon sexe continuait de gonfler en elle. Il était si bien dans ce vagin qui le moulait parfaitement et lui donnait l’impression d’une très douce masturbation. Nawal se mit subitement à faire faire à ses hanches un mouvement circulaire qui venait augmenter notre excitation à tous les deux. Elle semblait avoir atteint le moment où elle devait absolument décharger et qu’elle ne pouvait résister plus longtemps. C’était un appel pour que j’accélère mes coups de rein et que je les transforme en coups de boutoir. Je retirai mon sexe du fond de son vagin dans lequel il tournait doucement depuis un moment, et entrepris de longs va-et-vient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Je les accompagnai d’un fort ahanement de bûcheron. Je sentais que mon sexe allait bientôt exploser.Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses gémissements se transformèrent en petits cris de plaisir. Tout son corps était tendu vers la jouissance qu’elle sentait arriver comme une déferlante. Sa tête partait de tous les côtés dans des mouvements incontrôlés, accompagnant les sensations de plaisir qui irradiaient de son clitoris vers tout le reste de son corps. Elle n’en pouvait plus, elle voulait jouir. Jouir tout de suite. Jouir très fort. Et soudain elle cria plus fort qu’elle allait décharger. ...