LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...2) Les rideaux.
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... à quatre les escaliers qui mènent à la véranda, ceux-là même que je montais ce matin, sans me douter de la teneur exceptionnelle de ce Dimanche pas comme les autres. Alors que j’étais encore assis au volant, plongé dans mes pensées, la lumière au premier s’allumait déjà, je souris à l’idée que Marilyne devait certainement préparer l’escabeau. A mon tour, je gravis les escaliers, rentrai dans la maison. -Venez Patrick ! Je suis au salon ; je m’installe avec l’escabeau, j’ai peur de tomber, vous savez. J’entre dans le salon et je vois Marilyne debout sur l’escabeau, les bras tendus vers le plafond, appliquée à décrocher un à un les crochets des rideaux. Même sur la plateforme de l’escabeau et les bras tendus, belle maman est obligée de se mettre sur la pointe des pieds ; sa jupe remonte et déjà on aperçoit le liserait foncé de son collant. -Attention Marilyne, je viens derrière vous, n’ayez pas peur, je tiens l’escabeau. J’arrive au bas de l’escabeau, cramponne les montants, je lève la tête…et…qu’elle vue magnifique ! Les cuisses de belle maman, comme deux étais soutenant le petites fesses rondes qui débordent d’une culotte trop courte sous la couture du collant. Je ne tiens plus, fébrilement, je monte sur la première marche et déjà ma tête est sous la jupe, mes mains s’agrippent aux cuisses que je caresse de haut en bas, je monte encore une marche, ma tête soulève maintenant tout le bas de la jupe jusqu’aux reins, j’ai sous le nez le postérieur de Marilyne, je me hisse encore ...
... plus haut, mes mains prennent appui sur les hanches, je me frotte sur les cuisses de ma belle-mère qui a cessé son travail et se cramponne au garde-fou de notre perchoir d’amour…. -Petit vicieux, tu ne pouvais pas attendre un peu, tu te branles déjà sur moi comme un jeune chien, humm… continue, frotte toi, monte une marche, viens te branler sur mon cul, je sais que tu l’aimes, tu voudrais le lécher ? -Tu…Vous me dites « tu » Marilyne ? -Oui mon branleur, uniquement dans ces moments particuliers, ce sera le signal à notre débauche, plus du m’échaufferas, plus tu m’exciteras, plus je serai vulgaire, plus je te demanderai des choses…Tu comprends ? Comme elle termine de décrire les règles qu’elle a définies, elle ondule son cul sur moi et me demande : -Baisse ton pantalon, sors ta queue et tape là sur mes cuisses et mon cul, allez dépêche-toi je veux la sentir ta queue…Ta queue de vicelard excité, je suis sûre qu’elle bave déjà hein ? Sors là que je sente. Déjà, ma main extirpe ma bite de mon pantalon, de l’autre je me cramponne à Marilyne et commence à marteler les cuisses et le cul de mon gland rougi par les frottements et baveux de plaisir. Marilyne, toujours le dos tourné, d’un revers de main, se saisit de ma verge et de son pouce balaie mon gland : -Tiens je le savais, petit salaud…Ton gland est tout baveux…J’aimerais le sucer tu sais….Même te branler pour te faire jouir mon Patrick, Patrick tu as la trique ? C’est marrant ça rime. Ha ha ha.. Elle est maintenant prise d’un ...