LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...2) Les rideaux.
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chaque côté de ses lèvres ; que je m’empresse de lécher à grands coups de langue, bien au-delà de la bouche, vers le nez, les joues, le front, je lèche toute sa face, elle aime ; par des mouvements de la tête, elle vient appuyer l’assaut de ce pinceau humide et reconnaissant de tant de bonheur. -Assez Patrick. Nous allons terminer sagement notre besogne, nous rendre un peu plus présentables ; vous allez rentrer chez vous avec pour seule compagnie : les rideaux. Mais très bientôt, encore de bons moments, pleins de bons moments. Comme un enfant sage, j’acquiesçai d’un signe de la tête, me rendis vers la salle de bain pour un brin de toilette. Quand je revins au salon, Marilyne avait décroché les rideaux, me les tendit : -Voilà, vous voyez, je ne suis pas tombée. Je pris les rideaux à pleines mains pour les engager dans le sac que me tentait belle maman. Je pris le sac et fis demi-tour pour prendre la direction du couloir. Arrivé derrière la porte de sortie, je sentis la main de belle maman, je me retournai et je vis Marilyne soulever sa poitrine de ses deux mains, à travers son chemisier, tout en faisant la moue : ...
... -Et mes seins Patrick, vous voudriez les voir ? Juste les voir bien entendu. Elle déboutonna son chemisier, l’ouvrit, fit passer ses seins blancs hors des bonnets du soutient gorge noir. De ce noir et blanc ressortaient deux tétons roses pointus qui semblaient appeler au secours pour qu’on les délivre. -Alors ils te font envie ? Tu voudrais les téter ? Les ploter ? Je restai sans voix, les yeux fixés sur cette poitrine attirante. Alors que je levai ma seule main libre pour toucher ces beaux fruits ; Marilyne m’arrêta dans mon élan : -Non, non, on ne touche pas, la prochaine fois…Peut-être. Après un baiser sur le front, Marilyne ouvrit la porte, sans me retourner je descendis les escaliers, lentement, j’entendis la porte se refermer. Je pris place dans ma voiture, après avoir posé les rideaux, derniers témoins de nos ébats, sur le siège passager. Je rentrai chez moi, la tête pleine de fantasmes, d’envies, de moments avec Marilyne. Elle avait réussie en me montrant ses seins, à m’exciter à nouveau, impatient, il me tardait la prochaine fois ; quand ? Où ? J’allais très vite le savoir en arrivant chez moi. (À suivre).